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Flying Rhinos
Filmed by www.greenrenaissance.co.za (https://www.facebook.com/greenrenaissance) for WWF...
published: 09 Nov 2011
Author: Green Renaissance
Flying Rhinos
Filmed by www.greenrenaissance.co.za (https://www.facebook.com/greenrenaissance) for WWF South Africa
Black rhino given new home
The seventh black rhino population established by the WWF Black Rhino Range Expansion Project, was recently released after an epic 1500 kilometre trip across the country. 19 of the critically endangered animals were moved from the Eastern Cape to a new location in Limpopo province.
“This was possible because of the far-sightedness of the Eastern Cape Provincial government who were prepared to become partners in the project for the sake of black rhino conservation in South Africa,” said WWF’s project leader Dr Jacques Flamand. “The operation was difficult due to the number of animals and the long distances involved. But wildlife veterinarians, conservation managers and capture teams from WWF, Eastern Cape Parks and Tourism Agency, SANParks and Ezemvelo KZN Wildlife worked cooperatively to ensure the success of the translocation. We all learned from one another and were united in a common cause.”
“We are a young organisation and this is a great opportunity to be giving something back to the national conservation effort,” said Dave Balfour, conservation director of the Eastern Cape Parks and Tourism Agency. “We are excited about getting ourselves integrated into national conservation. A critical element of future conservation success will be the ability of agencies with a common interest to work together. This was a great example of that."
A relatively new capture technique was used to airlift some of the rhinos out of difficult or inaccessible areas by helicopter. This entails suspending the sleeping rhino by the ankles for a short trip through the air to awaiting vehicles. “Previously rhinos were either transported by lorry over very difficult tracks, or airlifted in a net. This new procedure is gentler on the darted rhino because it shortens the time it has to be kept asleep with drugs, the respiration is not as compromised as it can be in a net and it avoids the need for travel in a crate over terrible tracks,” explains Dr Flamand. “Another advantage is that rhinos can be more easily removed from dangerous situations, for example if they have fallen asleep in a donga or other difficult terrain after being darted. The helicopter translocations usually take less than ten minutes, and the animals suffer no ill effect. All of the veterinarians working on the translocation agreed that this was now the method of choice for the well-being of the animals.”
Security of rhinos is a major concern given the current poaching onslaught. Project partners receiving rhinos on their land are only chosen if their security systems are of a high standard. “Translocating rhinos always involves risk, but we cannot keep all our eggs in one basket. It is essential to manage black rhino populations for maximum growth as it is still a critically endangered species and this is what the project does by creating large new populations which we hope will breed quickly,” concludes Dr Flamand.
The WWF Black Rhino Range Expansion Project aims to increase the range and numbers of black rhino in South Africa and has created seven significant black rhino populations in eight years. Close to 120 black rhino have been translocated to date.
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Sagrada Familia (Ode à la vie) - Démo officiel
MONTRÉAL SIGNE L'ODE À LA VIE
Les villes de Barcelone et de Montréal ont invité Moment Fac...
published: 22 Sep 2012
Author: Moment Factory
Sagrada Familia (Ode à la vie) - Démo officiel
MONTRÉAL SIGNE L'ODE À LA VIE
Les villes de Barcelone et de Montréal ont invité Moment Factory à créer une fresque vivante sur la façade de la basilique de la Nativité de la Sagrada Familia, le chef d’œuvre d’Antonio Gaudi. Le résultat est un hommage multimédia à l’une des églises les plus vénérées mondialement. Le spectacle en mapping vidéo d'une durée de 15 minutes raconte une histoire de renaissance, d’espoir et de grâce. Voici le démo officiel.
SPECTACLE MULTIMÉDIA À LA SAGRADA FAMILIA, BARCELONE
Les 21, 22 et 23 septembre 2012
Création et réalisation : Moment Factory / Idée originale : RENAUD - Architecture d'événements
En collaboration avec : La Ville de Montréal, Tourisme Montréal, La Ville de Barcelone, La Mercè
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The cities of Barcelona and Montréal invited Moment Factory to showcase architect Antoni Gaudí‘s renowned Sagrada Familia by creating a moving fresco on the basilica’s Nativity façade. The result, a 15-minute multimedia tribute to one of the world’s most revered churches, is an uplifting story of rebirth, hope and beauty. Here's the official demo.
MULTIMEDIA SPECTACLE AT LA SAGRADA FAMILIA, BARCELONA
September 21, 22 & 23, 2012
Creation and Direction : Moment Factory
Original idea : RENAUD - Architecture d'événements
In collaboration with : La Ville de Montréal, Tourisme Montréal, La Ville de Barcelone, La Mercè
www.momentfactory.com
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Eyes With Shit...(Eyes Wide Shut pastiche)
Eyes With Shit...(Eyes Wide Shut pastiche)
L’atemporalité psychédélique de la mouvance de...
published: 14 Nov 2009
Author: Patrice De Bruyne
Eyes With Shit...(Eyes Wide Shut pastiche)
Eyes With Shit...(Eyes Wide Shut pastiche)
L’atemporalité psychédélique de la mouvance des corps dans une orgie, dépasse la sensualité dans le sexe crade...
J'ai de suite pensé en me réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire.
Cette splendide érection matinale était le meilleur des présages.
En m'étirant et grognant d'aise, je me suis demandé si mon chat, habitué aux massages ciblés (visant à me réveiller efficacement... et, en dernière analyse, à obtenir sa gamelle), en était responsable, mais non ; quelque chose de tiède et d'humide, indéniablement, venait d'ensérer mon sexe : le corps encore chaud de Sabrina en voulait encore.
Sabrina n'a jamais été du matin... et encore moins du soir.
De toute façon, je ne peux pas affirmer avec certitude que Sabrina eut été... à un quelconque moment de la journée..., mais a-t-elle vraiment été un jour ?
Cette fois, je n'aurais pas à aller me soulager sous la douche.
Depuis que cinq sages indiens avaient envahi ma salle de bain et m'avaient fait découvrir les "mystères profonds du corps", j'essaie, dans la mesure du possible, d'éviter la pièce, histoire de laisser mon fondement cicatriser entre chaque initiation.
Prenant mon prépuce entre le pouce et l'index, Sabrina tire un grand coup dessus, puis y clampe une pince à linge pour gagner encore quelques centimètres de peau, son but secret étant de m'offrir le prépuce le plus long du monde pour l'utiliser comme un pull pour mes coucougnettes quand l'hiver rude finira par arriver sur mon sexe.
Je décide alors que ça suffit de jouer avec mes couilles... et je me rhabille, pour vite aller profiter du beau temps.
C'est dimanche, il fait magnifique, et il me semble entendre le doux murmure du vent apaiser mon gland endolori...
Les arbres, les fleurs et la nature entière m'appellent à la l'harmonie, je me laisse porter par mon inspiration et je note sur un mur blanc : "Vergers au matin, humides comme un baiser"...
Puis, comme à mon habitude, après avoir pissé sur le même arbre que la veille et la veille de la veille et ainsi de suite jusqu'à plus foif... je rentre chez moi faire chauffer deux toasts 44 secondes sur la position 2 de mon grille-pain style années '60 et m'installe à ma modeste table Knoll en marbre blanc plaçée au centre de ma cuisine rouge, dotée d'une bonne vue sur le parc ce qui en l'occurence n'a pas d'importance puisque je me mets généralement à lire le journal de la veille, comme à mon habitude...
Puis, je décide d'appeler mon cher ami Patrick Henderikx sans avoir d'idée précise en tête... et lorsque le répondeur me répond (c'est la fonction d'un répondeur)..., je repose mollement le combiné et lève les yeux vers l'horloge de la cuisine, réalisant qu'avec toutes ces conneries je me suis à nouveau f... en retard... et j'ai toujours eu une sainte horreur d'être en retard, la ponctualité étant une question d'éducation.
Mon éducation avait, en effet, été sans faille, grâce à ma Sainte Maman qui m'avait appris à moucher son nez, dire bonjour et merci, arriver à l'heure et être propre sur moi.
La journée s'annonce chargée !
J'allume l'ordinateur par habitude et poursuit mon quotidien sans trop réfléchir aux prochains évènements qui allaient survenir...
Des piles de bouquins pas terminés d'auteurs en vogue du XXIème siècle, sont dans un coin, le dernier Houellebeck, (qui est une belle merde au passage) dans l'autre..., entre deux sachets de beuh thaïlandaise modifiée et coupée de divers neuro-stimulants... et quelques bouteilles de rhum, de degrés conséquent, elles mêmes en équilibre sur des amas de notes aléatoires écrites alors que je me shootais aux champis à l'insuline..., et que je fourmillais de phrases chocs et éparses, mais fortes à mon esprit.
Je me considérais alors, bien que ce soit encore le cas par moment actuellement, comme un mec qui gagne à être connu pour mes texticules... : amas de phrases s'entassant sur des post-it, eux mêmes perdus au milieu d'un tas de feuilles à moitiés blanches, sur lesquelles sont disséminés, çà et là, des textes avortés et des dessins incolores que je ne finirai sans doute jamais.
Voilà ce qu'est ma vie dans mes moments de perdition morale complète.
L'état de salubrité de mon appartement ressemble à l'intérieur de ma tête, un état proche de la psychologie Zen...
Lorsque je suis désespéré, anéanti par le poids des conséquences de mes actes... et par mes responsabilités, c'est tout un microcosme informe et bordélique qui prend le pas sur le vide des cinq cent quarante cinq mètres carrés de mon loft (le garage est en dessous, le tout étant une vieille usine années '30 relookée en style Bauhaus Zen avec quelques touches lascives des années '50 et énormément d'ultra-modernisme des années 2000.
Vivre seul me permet à peu près deux semaines sur deux si ce n'est plus de me laisser aller et de m'enfonce
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The Boombox Project
VIMEO STAFF PICK
On the heels of the graffiti renaissance comes a vibrant look at an old-...
published: 04 Mar 2011
Author: Paul Stone
The Boombox Project
VIMEO STAFF PICK
On the heels of the graffiti renaissance comes a vibrant look at an old-school icon that figured prominently in the hip-hop, rock & roll, and punk movements of the 1970s and 80s.
The Boombox Project features contemporary fine art portraits of an array of vintage boomboxes, as well as scores of documentary photographs of the people who brought the boombox movement to life back in the day. Owerko shot the cover photograph for the September 11, 2001 issue of Time, which was ranked as one of the 40 most important magazine covers in the past 40 years by the American Society of Magazine Editors.
Please support this project and donate what you can in our TIP JAR.
Thank you for all the support!
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