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The Great British Class Survey launches on BBC One Show
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published: 28 Jan 2011
author: Philip Trippenbach
The Great British Class Survey launches on BBC One Show
published: 28 Jan 2011
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1957 1 of 2 Social Class in America
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published: 21 Jul 2008
author: AutomobileHistoryUSA
1957 1 of 2 Social Class in America
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Unit 2: The Four Social Classes
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published: 03 Jun 2010
author: SociologyReloaded
Unit 2: The Four Social Classes
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01: Social class in America - Tammys Story
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published: 03 Oct 2011
author: 1kprodunix
01: Social class in America - Tammys Story
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Social Class in America
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published: 21 Oct 2010
author: footagefile13
Social Class in America
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Sociology - Social class and education
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published: 17 Mar 2010
author: TheWilko808
Sociology - Social class and education
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Wealth and Power in America: Social Class, Income Distribution, Finance and the American Dream
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published: 15 Jun 2012
author: thefilmarchives
Wealth and Power in America: Social Class, Income Distribution, Finance and the American Dream
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Social Class in America (1957)
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published: 24 Jan 2011
author: shaggylocks
Social Class in America (1957)
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Poverty in America a Social Class
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published: 11 Jun 2009
author: YouSeeMyWorld
Poverty in America a Social Class
Vimeo results:
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Eyes With Shit...(Eyes Wide Shut pastiche)
Eyes With Shit...(Eyes Wide Shut pastiche)
L’atemporalité psychédélique de la mouvance de...
published: 14 Nov 2009
Author: Patrice De Bruyne
Eyes With Shit...(Eyes Wide Shut pastiche)
Eyes With Shit...(Eyes Wide Shut pastiche)
L’atemporalité psychédélique de la mouvance des corps dans une orgie, dépasse la sensualité dans le sexe crade...
J'ai de suite pensé en me réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire.
Cette splendide érection matinale était le meilleur des présages.
En m'étirant et grognant d'aise, je me suis demandé si mon chat, habitué aux massages ciblés (visant à me réveiller efficacement... et, en dernière analyse, à obtenir sa gamelle), en était responsable, mais non ; quelque chose de tiède et d'humide, indéniablement, venait d'ensérer mon sexe : le corps encore chaud de Sabrina en voulait encore.
Sabrina n'a jamais été du matin... et encore moins du soir.
De toute façon, je ne peux pas affirmer avec certitude que Sabrina eut été... à un quelconque moment de la journée..., mais a-t-elle vraiment été un jour ?
Cette fois, je n'aurais pas à aller me soulager sous la douche.
Depuis que cinq sages indiens avaient envahi ma salle de bain et m'avaient fait découvrir les "mystères profonds du corps", j'essaie, dans la mesure du possible, d'éviter la pièce, histoire de laisser mon fondement cicatriser entre chaque initiation.
Prenant mon prépuce entre le pouce et l'index, Sabrina tire un grand coup dessus, puis y clampe une pince à linge pour gagner encore quelques centimètres de peau, son but secret étant de m'offrir le prépuce le plus long du monde pour l'utiliser comme un pull pour mes coucougnettes quand l'hiver rude finira par arriver sur mon sexe.
Je décide alors que ça suffit de jouer avec mes couilles... et je me rhabille, pour vite aller profiter du beau temps.
C'est dimanche, il fait magnifique, et il me semble entendre le doux murmure du vent apaiser mon gland endolori...
Les arbres, les fleurs et la nature entière m'appellent à la l'harmonie, je me laisse porter par mon inspiration et je note sur un mur blanc : "Vergers au matin, humides comme un baiser"...
Puis, comme à mon habitude, après avoir pissé sur le même arbre que la veille et la veille de la veille et ainsi de suite jusqu'à plus foif... je rentre chez moi faire chauffer deux toasts 44 secondes sur la position 2 de mon grille-pain style années '60 et m'installe à ma modeste table Knoll en marbre blanc plaçée au centre de ma cuisine rouge, dotée d'une bonne vue sur le parc ce qui en l'occurence n'a pas d'importance puisque je me mets généralement à lire le journal de la veille, comme à mon habitude...
Puis, je décide d'appeler mon cher ami Patrick Henderikx sans avoir d'idée précise en tête... et lorsque le répondeur me répond (c'est la fonction d'un répondeur)..., je repose mollement le combiné et lève les yeux vers l'horloge de la cuisine, réalisant qu'avec toutes ces conneries je me suis à nouveau f... en retard... et j'ai toujours eu une sainte horreur d'être en retard, la ponctualité étant une question d'éducation.
Mon éducation avait, en effet, été sans faille, grâce à ma Sainte Maman qui m'avait appris à moucher son nez, dire bonjour et merci, arriver à l'heure et être propre sur moi.
La journée s'annonce chargée !
J'allume l'ordinateur par habitude et poursuit mon quotidien sans trop réfléchir aux prochains évènements qui allaient survenir...
Des piles de bouquins pas terminés d'auteurs en vogue du XXIème siècle, sont dans un coin, le dernier Houellebeck, (qui est une belle merde au passage) dans l'autre..., entre deux sachets de beuh thaïlandaise modifiée et coupée de divers neuro-stimulants... et quelques bouteilles de rhum, de degrés conséquent, elles mêmes en équilibre sur des amas de notes aléatoires écrites alors que je me shootais aux champis à l'insuline..., et que je fourmillais de phrases chocs et éparses, mais fortes à mon esprit.
Je me considérais alors, bien que ce soit encore le cas par moment actuellement, comme un mec qui gagne à être connu pour mes texticules... : amas de phrases s'entassant sur des post-it, eux mêmes perdus au milieu d'un tas de feuilles à moitiés blanches, sur lesquelles sont disséminés, çà et là, des textes avortés et des dessins incolores que je ne finirai sans doute jamais.
Voilà ce qu'est ma vie dans mes moments de perdition morale complète.
L'état de salubrité de mon appartement ressemble à l'intérieur de ma tête, un état proche de la psychologie Zen...
Lorsque je suis désespéré, anéanti par le poids des conséquences de mes actes... et par mes responsabilités, c'est tout un microcosme informe et bordélique qui prend le pas sur le vide des cinq cent quarante cinq mètres carrés de mon loft (le garage est en dessous, le tout étant une vieille usine années '30 relookée en style Bauhaus Zen avec quelques touches lascives des années '50 et énormément d'ultra-modernisme des années 2000.
Vivre seul me permet à peu près deux semaines sur deux si ce n'est plus de me laisser aller et de m'enfonce
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BOUNCING CATS film trailer
FILM SYNOPSIS
Uganda has been called one of the worst places on earth to be a child. In t...
published: 21 May 2010
Author: nabil elderkin
BOUNCING CATS film trailer
FILM SYNOPSIS
Uganda has been called one of the worst places on earth to be a child. In the South, children face the threat of poverty and disease. In the North, these threats are enflamed by a brutal, mindless war inflicted by the Lord’s Resistance Army (L.R.A.) that has divided families, displaced millions, and led to the abduction and mutilation of tens of thousands of children resulting in the deterioration of identity and culture.
Bouncing Cats is the inspiring story of one man’s attempt to create a better life for the children of
Uganda using the unlikely tool of hip-hop with a focus on b-boy culture and breakdance. In 2006, Abraham “Abramz” Tekya, a Ugandan b-boy and A.I.D.S. orphan created Breakdance Project Uganda (B.P.U.). The dream was to establish a free workshop that would empower, rehabilitate and heal the community by teaching youth about b-boy culture. Based in Kampala, Uganda, B.P.U. has recently expanded to include permanent classes in Gulu, Northern Uganda. Abramz teaches classes three times a week to more than 300 kids from all parts of the country. Many of the children are homeless, victims of war and poverty, and few can afford proper schooling yet they walk from miles away to attend the B.P.U. classes. As Abramz says, “This is where many people’s pride is. It’s a skill that no one can take away from us.”
Crazy Legs, one of the founding members of the seminal Rock Steady Crew visited Uganda after receiving an invitation from Abramz to teach b-boy classes. What he discovered upon his arrival was both heartbreaking and inspiring. Traveling throughout Uganda, from the southern slums to the war-torn North, Crazy Legs encountered a passion for hip-hop and desire to learn amongst the most squalid conditions.
Bouncing Cats follows Abramz, Crazy Legs, and Breakdance Project Uganda on a journey to use hip-hop culture for positive social change. The film features narration by Common and interviews with Mos Def, Will-I-Am, and K’Naan.
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Bicycle Portraits - everyday South Africans and their bicycles.
Stan Engelbrecht & Nic Grobler are publishing the best 165 portraits and stories of the ov...
published: 22 Apr 2010
Author: Bicycle Portraits
Bicycle Portraits - everyday South Africans and their bicycles.
Stan Engelbrecht & Nic Grobler are publishing the best 165 portraits and stories of the over 500 portraits of cyclists they’ve photographed during their 2 year journey around South Africa. Divided over 3 books, each will contain a different 55 stories, and also two essays each by local South African and major international cycling figures. The books are designed by Gabrielle Guy (www.gabrielleguy.com) and they have also collaborated with celebrated South African artist Gabrielle Raaff (www.gabrielleraaff.com) to create an individual hand-painted watercolor map, based on Google Maps, to indicate the location of each of the portraits.
When they started the project, Bicycle Portraits aimed to be a study of South African commuter culture, and they wanted to find out who rides bicycles, why they ride bicycles, if and why they love their bicycles, and of course why so few South Africans choose bicycles as a transport option. But Bicycle Portraits has turned into a portrait of a nation through the bicycles that they own and ride every day - revealing all manner of social, class, historical and cultural nuances never imagined.
www.bicycleportraits.co.za/kickstarter
Music : 'Sohlala Siphila' (Staying Alive) by African Noise Foundation
www.myspace.com/africannoisefoundation
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Flashing Bodies Action Seven 'QR5' (Quiet Revolution)
Video by Pablo Robertson de Unamuno
Music "Rosary Novena for Gender Transitioning" by Ter...
published: 12 Jun 2011
Author: pau ros
Flashing Bodies Action Seven 'QR5' (Quiet Revolution)
Video by Pablo Robertson de Unamuno
Music "Rosary Novena for Gender Transitioning" by Terre Thaemlitz
Heygate Estate (Elephant & Castle) was one of the biggest social housing estates in Europe. 1,200 working class families were evacuated in 2008, just 3 or 4 residents still remain. The council has planned an urban regeneration scheme to create new up-market housing and to sell the land to private investors.
Enough! There may not be anything we can do to stop it; but we still have our voice and we can work together as a pressure group. Let's not make it easy for them!
Completely Naked made a public call to create the next Flashing Bodies action on Saturday 4th June at noon, based on human beings, naked bodies and naked emotion set against the mass concrete blocks of flats; the dilapidated doors and broken windows of Heygate Estate.
Is it a monster? Is it still 'home'? What does the word home mean to people? Life is complex, so are we.
At Heygate Estate, they installed a wind turbine as an experiment. It was called 'Quiet revolution 5 (QR5)'. It didn't generate a lot of power... In fact it was near on useless. But the blades keep on turning.
Continuing the theme, we too wanted to make a quiet revolution. It may go nowhere, but it will exist all the same. It's this that makes all the difference!
more at www.completelynaked.co.uk
Youtube results:
4:37
Understanding Social Class and Education (2)
...
published: 16 Sep 2010
author: TraceyCox030909
Understanding Social Class and Education (2)
4:22
Social Class and Accent. British Culture 1309 ESL British Pronunciation
...
published: 03 Aug 2010
author: iswearenglish
Social Class and Accent. British Culture 1309 ESL British Pronunciation
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1957 2 of 2 Social Class in America
...
published: 21 Jul 2008
author: AutomobileHistoryUSA
1957 2 of 2 Social Class in America