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The Lion City
A Singapore Time lapse.
Keith Loutit ( based in Singapore): http://www.facebook.com/Keith...
published: 19 Sep 2012
Author: Keith Loutit
The Lion City
A Singapore Time lapse.
Keith Loutit ( based in Singapore): http://www.facebook.com/Keith.Loutit | https://twitter.com/Keith_Loutit | http://keithloutit.com
More info below.
Big thanks to Michael Adler Miltersen for composing the arrangement and sound design for this film!
Music by Sepia Productions
Sound design by Sepia Productions
www.sepiaproductions.net | https://www.facebook.com/sepiaproductions
For 'The Lion City', the idea behind the extension of the tilt shift technique is for focus and distance to be something the viewer can experience. It also doubles to communicate the constant heat and humidity that hits you whenever you leave the comfort of air conditioning in Singapore.
Shooting info at: http://blog.planet5d.com/2012/09/an-absolutely-stunning-must-see-tilt-shift-timelapse-the-lion-city/
Thanks to the following people who helped with this film:
Yan Szu Ong, Singapore National Parks Board;
April Tan, Juliana Tan, Irin Lin & Belle Tan - Singapore Urban Redevelopment Authority;
Cheryl Ng, The Ritz Carlton Millennia Singapore;
Jing Han Foo, Singapore Housing & Development Board;
Fulvia Wong, Singapore Flyer;
Ong Jun Wei, National Day 2011;
Steven Tan, Shaw Organisation;
David Phan, P&G; Photographic.
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The GHOSTS
Girls, Boys, Rock 'n' Roll, Sex, Guns, Leather, Summer, Humidity, Suburbia.
eddie.okeefe [...
published: 25 Jan 2011
Author: Eddie O'KEEFE
The GHOSTS
Girls, Boys, Rock 'n' Roll, Sex, Guns, Leather, Summer, Humidity, Suburbia.
eddie.okeefe [at] theteenagehead.com
http://www.facebook.com/theteenagehead
http://www.twitter.com/theteenagehead
http://www.theteenagehead.com/blog
10:24
Eyes With Shit...(Eyes Wide Shut pastiche)
Eyes With Shit...(Eyes Wide Shut pastiche)
L’atemporalité psychédélique de la mouvance de...
published: 14 Nov 2009
Author: Patrice De Bruyne
Eyes With Shit...(Eyes Wide Shut pastiche)
Eyes With Shit...(Eyes Wide Shut pastiche)
L’atemporalité psychédélique de la mouvance des corps dans une orgie, dépasse la sensualité dans le sexe crade...
J'ai de suite pensé en me réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire.
Cette splendide érection matinale était le meilleur des présages.
En m'étirant et grognant d'aise, je me suis demandé si mon chat, habitué aux massages ciblés (visant à me réveiller efficacement... et, en dernière analyse, à obtenir sa gamelle), en était responsable, mais non ; quelque chose de tiède et d'humide, indéniablement, venait d'ensérer mon sexe : le corps encore chaud de Sabrina en voulait encore.
Sabrina n'a jamais été du matin... et encore moins du soir.
De toute façon, je ne peux pas affirmer avec certitude que Sabrina eut été... à un quelconque moment de la journée..., mais a-t-elle vraiment été un jour ?
Cette fois, je n'aurais pas à aller me soulager sous la douche.
Depuis que cinq sages indiens avaient envahi ma salle de bain et m'avaient fait découvrir les "mystères profonds du corps", j'essaie, dans la mesure du possible, d'éviter la pièce, histoire de laisser mon fondement cicatriser entre chaque initiation.
Prenant mon prépuce entre le pouce et l'index, Sabrina tire un grand coup dessus, puis y clampe une pince à linge pour gagner encore quelques centimètres de peau, son but secret étant de m'offrir le prépuce le plus long du monde pour l'utiliser comme un pull pour mes coucougnettes quand l'hiver rude finira par arriver sur mon sexe.
Je décide alors que ça suffit de jouer avec mes couilles... et je me rhabille, pour vite aller profiter du beau temps.
C'est dimanche, il fait magnifique, et il me semble entendre le doux murmure du vent apaiser mon gland endolori...
Les arbres, les fleurs et la nature entière m'appellent à la l'harmonie, je me laisse porter par mon inspiration et je note sur un mur blanc : "Vergers au matin, humides comme un baiser"...
Puis, comme à mon habitude, après avoir pissé sur le même arbre que la veille et la veille de la veille et ainsi de suite jusqu'à plus foif... je rentre chez moi faire chauffer deux toasts 44 secondes sur la position 2 de mon grille-pain style années '60 et m'installe à ma modeste table Knoll en marbre blanc plaçée au centre de ma cuisine rouge, dotée d'une bonne vue sur le parc ce qui en l'occurence n'a pas d'importance puisque je me mets généralement à lire le journal de la veille, comme à mon habitude...
Puis, je décide d'appeler mon cher ami Patrick Henderikx sans avoir d'idée précise en tête... et lorsque le répondeur me répond (c'est la fonction d'un répondeur)..., je repose mollement le combiné et lève les yeux vers l'horloge de la cuisine, réalisant qu'avec toutes ces conneries je me suis à nouveau f... en retard... et j'ai toujours eu une sainte horreur d'être en retard, la ponctualité étant une question d'éducation.
Mon éducation avait, en effet, été sans faille, grâce à ma Sainte Maman qui m'avait appris à moucher son nez, dire bonjour et merci, arriver à l'heure et être propre sur moi.
La journée s'annonce chargée !
J'allume l'ordinateur par habitude et poursuit mon quotidien sans trop réfléchir aux prochains évènements qui allaient survenir...
Des piles de bouquins pas terminés d'auteurs en vogue du XXIème siècle, sont dans un coin, le dernier Houellebeck, (qui est une belle merde au passage) dans l'autre..., entre deux sachets de beuh thaïlandaise modifiée et coupée de divers neuro-stimulants... et quelques bouteilles de rhum, de degrés conséquent, elles mêmes en équilibre sur des amas de notes aléatoires écrites alors que je me shootais aux champis à l'insuline..., et que je fourmillais de phrases chocs et éparses, mais fortes à mon esprit.
Je me considérais alors, bien que ce soit encore le cas par moment actuellement, comme un mec qui gagne à être connu pour mes texticules... : amas de phrases s'entassant sur des post-it, eux mêmes perdus au milieu d'un tas de feuilles à moitiés blanches, sur lesquelles sont disséminés, çà et là, des textes avortés et des dessins incolores que je ne finirai sans doute jamais.
Voilà ce qu'est ma vie dans mes moments de perdition morale complète.
L'état de salubrité de mon appartement ressemble à l'intérieur de ma tête, un état proche de la psychologie Zen...
Lorsque je suis désespéré, anéanti par le poids des conséquences de mes actes... et par mes responsabilités, c'est tout un microcosme informe et bordélique qui prend le pas sur le vide des cinq cent quarante cinq mètres carrés de mon loft (le garage est en dessous, le tout étant une vieille usine années '30 relookée en style Bauhaus Zen avec quelques touches lascives des années '50 et énormément d'ultra-modernisme des années 2000.
Vivre seul me permet à peu près deux semaines sur deux si ce n'est plus de me laisser aller et de m'enfonce
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Percebeiros (Sea Bites) 1920x1080
http://www.enpiedeguerra.tv/percebeiros/
(12 min) Corto documental dirigido por David Ber...
published: 03 Dec 2011
Author: enpiedeguerra
Percebeiros (Sea Bites) 1920x1080
http://www.enpiedeguerra.tv/percebeiros/
(12 min) Corto documental dirigido por David Beriain sobre la historia de Serxio Ces, percebeiro de Cedeira, Galicia.
Preseleccionado para los Premios Goya 2012.
Sinopsis:
Ruge el viento. El mar golpea los acantilados. Dos metros de roca, ésa es la franja de agua y oxígeno en la que crece el percebe. Dos metros donde el mar se ensaña, donde bate con fuerza milenaria. Una frontera de olas y espuma en la que Serxo y sus compañeros luchan por un bocado de mar.
Una frontera de valor y miedo. De temeridad y sentido común. Dos metros sin margen de error. Ahí vive el percebe. Ahí vive Serxo.
Percebeiros es la batalla contra el mar de unos guerreros que no se consideran héroes.
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CREDITS
DAVID BERIAIN Director
David Beriain is a Spanish war correspondent that has covered conflicts in Iraq, Afghanistan, Congo, Colombia and Kashmir, among others. He is currently in charge of coordinating the fea- ture section at Medina Media, a production com- pany based out of Spain.
Beriain is one of the few reporters in the world that has managed to infiltrate the FARC guerrilla camps in Colombia. His work there made him a finalist for the Bayeux-Calvados, the most pres- tigious international award for war correspon- dents. He has interviewed the Taliban command- ers who killed Spanish soldiers, met with the twelve-year-old hitmen that Colombian druglords exploit as child soldiers, and even accompanied the American Army on some of their most danger- ous military operations in Iraq and Afghanistan. His latest TV documentary took him to Eastern Congo, where he covered the conflict between the Congolese Army and the rebels who fight, kill and rape in order to gain the control of the Coltan and Cassiterite mines.
During his time at Sea Bites, Beriain was in charge of producing the story and coordinating all the members in the team. He was the one who convinced everyone to get on board and as a true leader, he turned a group of people who did not know each other into a real team.
(+34) 609 72 71 61 beriain.david@gmail.com enpiedeguerra.tv/


FERNANDO UREÑA Script Writer
Fernando Ureña is a Spanish editor and script writer. For the past three years, he has worked as a script analyst for Cuatro’s national fiction shows. He has also supervised the scripts for several other Spanish networks such as Canal+, Digital+, TVE or Audiovisual Sport. He is currently writing the scripts for various Spanish movies, a work he combines with his editorial tasks at some of Spain’s most prestigious publishing compa- nies.
Ureña gave birth to the idea of Sea Bites.
He conceived the story and was David Beriain’s second hand in the team. They wrote the script together and Ureña followed the entire process of video-editing, post-production and sonorization.
(+34) 655 01 89 80 fmumary@gmail.com
SERGIO CARO Director of photography
Sergio Caro is a Spanish photographer and cam- eraman. He is specialized in international con- flicts and illegal immigration in Europe. His 2005 photographs of Sub-Saharan immigrants being hauled away by bus to be abandoned in the desert won him the Visa D’Or at the International Photo- journalists Awards in Perpignan, one of the most prestigious ceremonies in the world. His photo- graphs have been published in renowned media such as Newsweek, Le Figaro or the Financial Times. As a television cameraman, he has cov- ered Iraq, Afghanistan and Congo together with David Beriain.
Together with Ernesto Villalba, he created Once Upon a Time, a multimedia company that por- trays unique characters from a very artistic point of view.
In Sea Bites, Caro’s ten years of experience al- lowed him to hang himself from the rocks just as the barnacle fishermen did and taking as many risks as they do. He also played the role of direc- tor of photography coordinating all the camera- men at work.
(+34) 656 55 06 57 sergio@sergiocaro.com sergiocaro.com/

ERNESTO VILLALBA Cameraman
Ernesto Villalba is a Spanish multimedia journal- ist. He is a co-founder of Once Upon a Time, a pioneer online production company that makes short films and other multimedia materials for the web. The company’s first work, “Time to Time”, was selected by Innovative Interactivity as one of the fifty best multimedia packages of the year. Since 2008, he has directed all graphic design- and social media-related strategies for REC, the main feature aired by Cuatro, one of Spain’s “Big Five” TV networks.
Villalba is currently focused on his work at Once Upon a Time developing several documentary projects and combines them with his role as a teacher for several innovative seminars.
In Sea Bites, he was the cameraman that followed Serxo, our protagonist, outside the sea. Villalba’s particular sensitivity made our protagonist feel so comfortable with him that he even got the nick- name “Sombra”, shadow in Spanish.
(+34) 667 55 56 10 ernestovillalba.photo@gmail.com e
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