PARTI SOCIALISTE DES TRAVAILLEURS
AKABAR ANEMLAY
N'IXEDDAMEN حزب
العمال
الأشتراكي
* PST, 27 Boulevard Zirout Youcef, Alger - ( 00 213 21 73 61 41 - Tel FAX 00 213 71 47
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Nouveau Forum Contributions - Débat Palestine Tous les peuples de la région sont concernés.
Hocine Bellaloufi 28 03 2011 La
poursuite de la colonisation totale des terres palestiniennes par Israël rend
impossible toute perspective d’un Etat palestinien sur les territoires de
1967. Même Richard Falk, le rapporteur spécial de l’ONU sur la situation des
droits de l’homme dans les territoires occupés, a reconnu dernièrement que « l’idée
d’un Etat palestinien est illusoire ». Lire
Non à l’agression impérialiste contre la Libye !
Hocine Bellaloufi 20 mars 2011 Georges Walker
Obama, Nicolas Sarkozy et David Cameron, soutenus par le « socialiste » José
Louis Zapatero prétendent que leurs avions de chasse ont commencé à bombarder
les troupes d’El Gueddafi le 19 mars 2011 pour «protéger le peuple
libyen ». C’est un mensonge ! Lire la suite Algérie News : Quel a
été le déclic pour votre engagement politique et syndical ? Soumia
Salhi : C'est à l'université, dans
les luttes syndicales et démocratiques, que je suis entrée dans le
militantisme. C'était une autre époque, pleine d'espoirs. Je me suis
impliquée dans la longue grève de mon institut de psychologie en 1977, puis
nous avons constitué un petit cercle féministe qui défrichait des sentiers
nouveaux. Très vite, nous nous sommes trouvées engagées dans des initiatives
publiques : expositions, ciné-club féminin... Il y a eu, à ce moment, une
sorte d'ouverture politique qui nous a trouvées au stade du collectif
féminin. Dans ce contexte de grèves ouvrières et d'animation syndicale, nous
avons contribué en tant que collectif à l'effervescence démocratique contre
la répression du printemps berbère, contre le projet du code de la famille.
C'est dans ces luttes, que j’ai rejoint la mouvance de mon parti, le PST dans
lequel je milite encore aujourd'hui. Quelle
est la situation des femmes après un demi-siècle d'indépendance ? Nous
sommes encore loin de l'égalité qui nous est promise par la Constitution,
mais la situation est radicalement différente. Durant les premières années de
l'indépendance, les femmes sortaient rarement, même celles qui travaillaient
et qui ne constituaient que 3% de la population féminine. Le plus souvent,
elles étaient divorcées ou célibataires. Souvent, on arrêtait de travailler
lorsqu'on se mariait. Le reste des femmes étaient au foyer. L'enfermement
domestique était la norme, on n'avait pas comme aujourd'hui toutes ces femmes
au marché, faisant leurs courses. L'arrivée de ces bataillons de jeunes
lycéennes et étudiantes dans les rues étaient une première révolution. Car
l'indépendance a d'abord signifié la scolarisation massive, ce qui a bousculé
une oppression millénaire et changé les codes sociaux. Aujourd'hui, on parle
de deux tiers de femmes parmi les diplômés. Les résultats du bac confirment
cette majorité féminine. Ce chiffre traduit, surtout, la crise de notre
système éducatif et le désintérêt des jeunes hommes pour les études qui ne
garantissent plus l'avenir. Mais du point de vue des femmes, cela prouve, au
moins, qu'elles ne sont plus exclues du système scolaire. Il y a,
aujourd'hui, 17% de femmes qui travaillent. C'est un grand progrès mais ce
n'est pas assez. Les autres sont toujours privées des moyens de
l'indépendance économique. Lire la suite
Impuissance des mouvements
populaires. Cetri Samir
Larabi
Les
mouvements populaires algériens – syndicaux, islamistes ou régionalistes –
sont à la dérive. En cause, d’une part, la capacité jamais démentie du
pouvoir à coopter ou réprimer toute force sociale représentant une menace
potentielle pour son hégémonie, d’autre part la difficulté des acteurs
sociaux à construire des ponts entre secteurs mobilisés. Lire la suite Dérive droitière du néo patriotisme de gauche Nadir DJ. 24
02 2011 Les dynamiques de contestation propulsées par les révolutions en cours
en Tunisie et en Egypte et qui se propagent dans d’autres pays de la région
arabe révèlent un fort caractère politique.Lire la suite Les révoltes des jeunes ont ébranlé
l'ordre autoritaire. Salhi Chawki Inprecor 24 01 2011 Après une semaine,
l’incendie émeutier a allumé ses derniers feux laissant un sentiment
d’amertume, un gout de cendre. Mais l’ampleur nationale des révoltes et la
paralysie quasi totale qui en a résulté ont ébranlé l’ordre autoritaire en
place et ouvert la possibilité de changements qualitatifs dans la situation
politique.. Lire la suite de l'article.
Samir Larabi. La CNCD doit intégrer
les revendications des travailleurs et des jeunes. Lire la suite sur El Watan.
- Les marches pacifiques, option adoptée par la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD), semblent avoir atteint leurs limites objectives. En tant que porte-parole du Comité national pour la défense des droits des chômeurs, membre de la CNCD, quel(s) moyen(s) de lutte préconisez-vous pour imposer le changement et la démocratie et espérer une adhésion massive ? Déclaration
internationale des organisations présentes au congrès du NPA mardi
15 02 2011
Le renversement de Ben Ali et de Moubarak
change la situation politique non seulement dans le Maghreb et le Moyen
Orient mais à l’échelle internationale. Lire la suite. Pourquoi nous n’allons pas
participer à la marche du 12 février Association Nedjma. 10-02-2011
Nous avons, comme prévu, pris part à la
rencontre de cette coordination, à laquelle on nous a conviés et qui a eu
lieu à la maison des Syndicats. Durant cette rencontre, nous avons exposé
notre appréciation de la situation, nos positions politiques et notre
objectif à travers notre participation à cette réunion. La démarche adoptée
par nos noyaux consiste à prendre part à cette rencontre pour utiliser la
tribune qui nous a été offerte afin de nous adresser à la base de cette
coordination, sans aucune prétention de prendre part à la constitution du
«front» ni à sa direction. Par nos interventions, nous, militants jeunes,
avons expliqué, que notre combat se situe à la fois sur le terrain
démocratique et social. Pour nous, les émeutes de janvier 2011 sont
l’expression d’un marasme social généralisé. La révolte de la jeunesse est
intervenue dans un contexte de montée de luttes sociales et ouvrières. Déclaration des Amis du livre Béjaia. 10 02 2011
Ces derniers mois, l’actualité est marquée
essentiellement par une recrudescence d’émeutes ; blocages de routes,
fermetures de sièges d’APC et de daïra, sit-in devant les différents
ministères, grèves des travailleurs et manifestations. Le 05 janvier, l’émeute
s’est généralisée, touchant pratiquement tout le territoire national, ou la
jeunesse s’est soulevée spontanément en s’attaquant aux signes de richesses
de la bourgeoisie exhibés ostentatoirement, et à l’Etat qui n’est que
son expression politique. Cette révolte est
l’expression d’un profond malaise social. Les larges masses, cloitrées et
négligées, sont livrées à elles-mêmes, confisquées du fruit de leur
travail : chômage endémique, crise de logement, déperdition scolaire et
restriction des libertés individuelles, collectives et syndicales
(l’interdiction aux travailleurs du secteur privé de s’organiser en
syndicat, …), sont les conséquences de l’orientation libérale prônée par
le gouvernement. Tunisie La révolution s’étend et s’approfondit. Ligue de la
Gauche ouvrière. 08 02 2011 Grand Moyen-Orient, Guerres ou Paix ? Plaidoyer pour une révolution
arabe - à propos du livre de Hocine Belalloufi. La revue Contretemps
commente le livre de notre camarade Hocine 05 02 2011.
On peut aussi relire sur notre site l’article de Mohamed Bouhamidi sur le livre. Lutte des chômeurs Plate forme de la coordination des chômeurs SNAPAP Comme les marins vont contre le vent avec la force du
vent Nos démocrates libéraux fêtent déjà leur victoire sur l'Etat national.
La tribune. 03-02-2011
Par Mohamed Bouhamidi La leçon grandeur nature : comme une
leçon grandeur nature les révoltes de Tunisie et d’Egypte - seront-elles des
révolutions ? - ont opposé immédiatement les aspirations des peuples tunisien
et égyptien aux intérêts géostratégiques des Etats-Unis, de la France, puis
de l’Angleterre et de l’Allemagne ; avec une mention spéciale pour cette
dernière puissance puisque Angela Merkel s’est exprimé sur l’Egypte à partir
d’Israël. Les tyrans égyptiens et tunisiens sont alors apparus dans leur
réalité toute nue : des hommes en charge d’imposer à leurs peuples des
orientations et des programmes politiques au service de puissances
étrangères. Bien sûr, ces tyrans appartenaient à un système de familles oligarchiques,
à une caste de ploutocrates dopés au commerce extérieur ; mais ils n’étaient
que cela, une interface entre un pays à tenir d’une main de fer et les
institutions d’un ordre capitaliste aux multiples visages. Lire la suite Quatrième Internationale 30 01 2011 « Le trait le plus incontestable de la
Révolution, c’est l’intervention directe des masses dans les événements
historiques. D’ordinaire, l’Etat, monarchique ou démocratique, domine la
nation ; l’histoire est faite par des spécialistes du métier :
monarques, ministres, bureaucrates, parlementaires, journalistes. Mais, aux
tournants décisifs, quand un vieux régime devient intolérable pour les
masses, celles-ci brisent les palissades qui les séparent de l’arène
politique. (...) L’histoire de la révolution est pour nous, avant tout, le
récit d’une irruption violente des masses dans le domaine où se règlent leurs
propres destinées. » Déclaration lue par
le camarade Samir Larabi à la coordination du 27 01 au nom du PST. Nous tenons à exprimer notre solidarité avec la révolte
de la jeunesse et nous exigeons la libération immédiate et inconditionnelle
de tous les jeune arrêtes lors des révoltes populaires. Nous dénonçons la politique libérale au
service des multinationales et des monopoles privés d'importation , de
production et de distribution de la nouvelle bourgeoisie affairiste, une
politique qui est responsable de la vie chère, du manque d'emplois et de
logement et enfin de la dégradation des services publics essentiels. Nous considérons que les mesures prises par le
gouvernement, concernant la baisses des taxes et des tarifs douanier est un
cadeau supplémentaire pour les spéculateurs. Nous tenons à dénoncer le verrouillage de
toute expression syndicale et politique, la répression des marches, des
grèves, des réunions, verrouillage qui ne laisse a nos jeunes que le choix
d'une révolte désespérée… كي لا ينجح
صنائع بن علي في
إجهاض الثورة
الشعبية في تونس
24 01 2011
المنتدى الاشتراكي
لبنان) أنصار
المناضل-ة
المغرب) مركز
الدراسات الاشتراكية(جمهورية
مصر العربية) لم
يكن النصر العظيم
، الذي حققته الجماهير
الشعبية الواسعة
في تونس على دكتاتورية
زين العابدين
بن علي، ليكتسب
أهميته فقط من
كونه أنهى 23 عاماً من القمع
الفظ والاستغلال
والنهب والقهر
لتلك الجماهير،
بل أيضاً لأنه
ألقم حجراً كبيراً
لأوساط واسعة
من المثقفين المنتقلين،
في العقود الأخيرة،
إلى أحضان اليمين
الرأسمالي الرجعي،
والذين سمَّموا
أفكار جموع كثيفة
من الناس بما أشاعوه،
ولا يزالون، من
اليأس، بصدد قدرة
كادحي هذا العصر
ومعذَّبيه على
إعادة الاعتبار
لمقولة الثورة،
عبر نجاحهم في
صناعتها. Un article du camarade Omar pour le
CADTM Les
révoltes en Algérie : un signe avant-coureur du futur des luttes sociales.
Omar kitani 16 01 2011
Pour la première fois, toutes les wilayas,
régions et villes de l’Algérie, se sont soulevées en même temps et pour les
mêmes « revendications ». Les émeutes ont commencé durant la dernière
semaine de l’année 2010, où des quartiers populaires à Alger ont connu de
forts mouvements de contestation. Les habitants de plusieurs quartiers ont
envahi la rue pour contester la manière dont certains logements ont été
distribués en posant de nouveau la problématique de la crise du logement. En
effet, ces mêmes quartiers, appelés « quartiers-bidonvilles », ont
déjà marqué l’actualité politique en Algérie plusieurs mois en 2009. Après
une lutte acharnée, le gouvernement algérien avait reculé devant la
détermination des habitants en décidant de les reloger dans des cités
nouvellement construites. Réflexions de Nadir
sur la révolte. Les révoltes des
jeunes, l’univers informel et la démocratie. 13 janv 2011 Nadir
Djermoune La goutte qui a… Alors que le
débrayage de 900 dockers du port d’Alger est passé inaperçu, en pages
centrales, presque dans les faits divers, dans certains médias du jeudi 05
janvier, les « émeutes d’Oran » avec photo à l’appui sont mise à la
une de tous les journaux. Certains vont même dans la surenchère. Un
« octobre 88 » en ébullition est suggéré. Un concentré
d’informations, avec des gros titres tapants, toutes centrés sur les
émeutes qui donnent l’image d’une Algérie en feu. La veille déjà, Face
book a alerté l’opinion. Les SMS questionnent. Qu’en est-il
exactement ? Mohand Sadek Akrour. Ancien porte-parole du
Mouvement populaire (comité de la wilaya de Béjaïa) «La bourgeoisie maffieuse a fait avorter la
révolte populaire» Actuellement, il n’existe pas l’ombre d’une
volonté politique de faire des concessions à ce mouvement de révolte
populaire. Un article de Chawki
dans l’hebdo du NPA Le mouvement émeutier semble allumer ses
derniers feux mais, par son ampleur nationale et son impact, il peut
constituer un tournant dans la situation. … Chawki Salhi 11 janv 2011. Débat sur le code communal La Tribune écrit
sur la mairie PST de Barbacha (Béjaia) Pour exposer n’importe quel problème, le
citoyen s’adresse en premier lieu à l’Assemblée populaire communale, cellule
de base de l’édifice institutionnel algérien. Mais, l’APC n’a pas toujours
les moyens nécessaires pour répondre favorablement aux nombreuses doléances
de ses administrés. Ses ressources financières très limitées, provenant
exclusivement du budget de l’Etat, les prérogatives réduites des élus, la
rareté du foncier et les contradictions de l’ensemble du système
socio-administratif, limitent énormément son champ d’action. Faute de réponse
immédiate à ses soucis, le citoyen doute souvent de la bonne foi des membres
de l’exécutif communal. «Il est aujourd’hui extrêmement difficile de gagner
la confiance du citoyen», témoigne Sadek Akrour, maire de la commune de
Barbacha dans la wilaya de Béjaïa. Cette petite municipalité montagneuse de
20 000 habitants fait face, comme toutes les autres d’ailleurs, à un énorme
déficit en matière d’infrastructures et de services publics de base. «On se
plie quotidiennement en quatre pour offrir le strict minimum. Réparer les
routes, assurer la collecte des ordures ménagères, garantir le ramassage
scolaire, restaurer le réseau public d’alimentation en eau potable, veiller
au bon fonctionnement de l’état civil sont autant de tâches anodines qui
constituent autant de défis à relever chaque jour», ajoute notre
interlocuteur en soulignant au passage que des dossiers de première
importance comme la culture, le sport ou l’environnement sont automatiquement
renvoyés aux calendes grecques à défaut de ressources financières suffisantes
et de pouvoir de décision à l’échelon local. «La mairie est devenue une
simple courroie de transmission. Faute d’une entreprise communale de travaux
publics, l’APC passe obligatoirement par le privé dans l’exécution des PCD
(programmes communaux de développement). L’influence de ce dernier ne cesse
conséquemment de grandir aux dépens des véritables représentants de la
population. Les petites enveloppes, attribuées par l’Etat à ce chapitre,
suscitent immanquablement des frustrations et des rivalités tribales. Et si
un projet sectoriel, échappant totalement au contrôle de la mairie, connaît
un retard quelconque, c’est cette dernière qui se trouverait aussi incriminée
par les usagers. La logique du système en vigueur fait de l’APC un
pare-chocs», explique toujours le maire de Barbacha. Pour se justifier, notre
interlocuteur cite, à titre d’exemple, la rareté des imprimés du fameux Kamel Amghar dans la Tribune du 16 10 2010 Harcèlement
Sexuel : SOUMIA SALHI, SYNDICALISTE, À L’EXPRESSION Propos recueillis par Hadjer GUENANFA 90%
des nouveaux recrutés sont en CDD ! Saddek
Akrour maire PST de Barbacha Commune
déshéritée, située à l'extrême sud de la wilaya de Béjaïa,
Barbacha a enregistré l'un des plus importants taux de
suivi de la grève des agents communaux. Au moins 8 sur 10
travailleurs ont débrayé. Le maire, Mohand Sadek Akrour, parle de «véritable esclavage des
temps modernes». Les travailleurs communaux dénoncent leur
marginalisation. Quel est l’avis du président d’APC que vous êtes concernant
leurs conditions de travail ? L'un des éléments qui bloquent le bon
fonctionnement des communes est effectivement la marginalisation de ces
travailleurs communaux, qui sont toujours désignés comme boucs émissaires de
tous les maux qui caractérisent le service communal, mais personne ne se
penche sur leurs conditions de vie et de travail. Ils sont classés au bas de
l'échelle des salaires de la Fonction publique. La majorité n'atteint même
pas le SNMG. Malheureusement, les présidents d’APC n'ont aucun pouvoir pour
agir dans le sens d'améliorer leurs conditions. Lire
l’interview parue sur El Watan du 10 avril 2010 Les femmes sont devenues plus visibles en dépit du
retard des pratiques sociales. Soumia Salhi. El Watan du 06 mars 2010. Avant de commencer cette analyse du
mouvement féministe algérien, je voudrais saluer la mémoire de Nabila et
Katia, assassinées il y a quinze ans. Katia Bengana, lycéenne de 17 ans,
assassinée le 28 octobre 1994 à Meftah, près d’Alger, pour avoir refusé de
porter le hidjab et Nabila, architecte de 29 ans, assassinée le 15 février
1995 à Tizi Ouzou, parce qu’elle était la présidente de l’association
féminine Tighri N’tmettouth, (le cri de la femme). Lire la suite Daniel est parti ce mardi 12 Janvier. C’était
un militant, un intellectuel , un camarade, un ami.
Né en 1946, il aura mis sa vie au service de la défense des idées marxistes
révolutionnaires. Lire l’hommage de Fraçois Sabado Que mille Marx
s’épanouissent ! Lire cet entretien de Daniel Bensaid
Un grand parti de
gauche est possible Nous
mettons en ligne cet entretien avec Salhi Chawki, SG du PST paru
dans l'hebdo les débats. Semaine
du 2 au 8 avril 2008. http://www.lesdebats.com/editionsdebats/020408/nation.htm#5 Après le 9 avril Eléments d’analyse Nadir U Haddad Contribution à la réflexion collective Cheikh El Hocine Nouveau Nouveau Le débat du PST sur les présidentielles Bataille pour la démocratie Par Nadir En décidant de ne pas prendre part aux élections
présidentielles prochaines, et quels que soient les arguments des uns et des
autres, nous nous plaçons de fait dans le camp d’opposition démocratique au
pouvoir de Bouteflika. Ce camp est qualifié de démocratique autour d’une
principale idée : celle du refus du monarque. En effet, la mégalomanie
du président qui a amené à l’amendement de la constitution à la sauvette, sa
volonté de se pérenniser à son poste, sa gestion autoritaire et méprisante
des différentes revendications sociales, syndicales et politiques sont des
actes suffisants pour marquer une opposition franche. Les différentes voix de
cette opposition restent cependant hétéroclites sans contenu politique clair
et conséquent pour leurs alternatives démocratiques. Devant cette situation,
le président bien qu’affaibli et installant un doute auprès des franges de la
population, a encore des marges de manœuvre pour maintenir, et sans grandes
inquiétudes, son fauteuil de potentat. La crise est plutôt du coté de
l’opposition. C’est d’ailleurs ce qui explique en grande partie le
« boycott » annoncé. Notre attitude non plus n’est pas loin de
cette incapacité à mobiliser des populations mécontentes et en attente d’une
action organisée. Pourtant le camp anti Bouteflika ne désarme pas
totalement. Même le gel des activités du RCD est présenté comme un acte de
bravoure/ « reculer pour mieux sauter » disent-ils. Nos actions
pour une convergence démocratique visent à accompagner cette résistance, à
maintenir ce piquet de lutte et de préparer des lendemains durs pour détruire
l’édifice despotique qui se met en place et qui se renforcera avec une
victoire large de Bouteflka. Même sans grande illusion sur une mobilisation
d’envergure, il s’agit pour nous de diriger nos attaques contre le président
et sa coalition avec les forces qui vont dans le même sens mais sans
diaboliser les participants au scrutin, car la non
participation ou le « boycotte » ne sont pas les seules actions
d’opposition. Si ce positionnement avec les forces qui
ont choisi le «boycott» pour s’opposer à Bouteflika relève d’une
démarche tactique nécessaire dans la conjoncture actuelle, le contenu
démocratique de notre programme a une place stratégique. Le rapport au
pouvoir et la manière de changer les institutions politiques actuelles est un
questionnement qui doit accompagner la construction du parti. Toute notre
démarche politique doit consister à faire faire aux masses l'expérience de
cette nécessité. Notre discours politique sera axé sur cette idée centrale.
C'est en même temps le meilleur moyen d'habituer les masses travailleuses et
populaires à poser les questions du pouvoir. C'est la démocratie qui est au cœur du
projet à refonder. Une démocratie sociale et politique sans précédent. Sur
cette voie, l’affrontement est double : avec le pouvoir politique ainsi
celui économique de la bourgeoisie et de sa bureaucratie. Dans notre
discours, nous avons l'habitude de revendiquer les "libertés
démocratiques" auprès d'un pouvoir accepté comme une sorte de fatalité.
Le mot démocratie est affublé d'attribut bourgeois chez nos militants. En
réalité, "La démocratie n’est pas un supplément d’âme à la justice
sociale"[1]. Elle en est à la fois le moyen et la fin.
La lutte pour le socialisme passe plus que jamais par une rupture
démocratique. De ce point de vue, la démocratie
pour nous n’est pas un subterfuge sémantique ni un substitut lexicale au
socialisme pour ne pas heurter la culture et la sensibilité des masses sous
la domination de l’idéologie libérale et l’hégémonie la culture musulmane. Ce
n’est pas non plus un habit bourgeois qu’on emprunte le temps d’une tactique
ponctuelle. Elle est notre identité. Mais nous ne lui donnons pas le même
sens ni le même contenu que les potentats libéraux. Ce n’est pas parce que
nos ennemis ou nos adversaires s’en revendiquent qu’on doit l’abandonner.
Tout ceci peut se concrétiser par le refus que toute l’organisation du
pouvoir pivote autour d’un monarque président, qui transforme le parlement en
une chambre d’enregistrement. La récente révision de la constitution par un
parlement illégitime, illégitimité soulignée par le président lui-même et une
partie de ses alliés, est une occasion de rappeler la nécessité de passer par
les choix du peuple, c’est-à-dire par une constituante. Mais notre démocratie
n’est pas formelle. Elle a un contenu social. C’est cette articulation qu’il
faut réussir dans une campagne unique et pas séparée. La construction du parti va de pair avec
l'édification d'une rupture démocratique avec les institutions politiques
actuelles pour donner vraiment la parole au peuple et aux salariés. Plus que
ça. Ceci a des conséquences sur la manière même d'envisager l'avenir de la
société, le combat révolutionnaire, et d'ériger en fondements des besoins que
le mouvement ouvrier, au delà du stalinisme, n'a pas réellement clarifié.
Nadir le 25/02/09 EL KHATWA Le journal de
gauche Envoyez vos critiques, vos propositions ! Attention ! Bientôt, nous changeons
d'hébergeur ! Ne pas oublier l'adresse officielle : www.pst-dz.org Visitez notre site Pour connaître le PST,
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et références , ses positions. Des sites de gauche, la revue inprecor,
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Il faut s’unir pour être plus forts ! 23
avril 2011 Une autre politique est possible !
09 avril 2011 Le code
communal proposé par le gouvernement vient conforter et renforcer une tutelle
des autorités administratives qui s’exerce y compris sur les attributions
dévolues aux élus. SN du PST. Alger, le 6 avril 2011 Bâtir une direction politique, pour imposer une alternative au service des travailleurs
et des démunis. Non à l'agression
impérialiste en Libye ! La révolte du peuple libyen, dans le sillage de ses
voisins tunisien et égyptien, bute sur un double obstacle : la dictature
féroce de Kadhafi et maintenant une attaque militaire des puissances
capitalistes mondiales. SN du PST. Alger, le 21 03 2011 Non à l'agression
impérialiste en Libye ! Le PST
dénonce l'agression militaire impérialiste en Libye portant la mort sous le
fallacieux prétexte humanitaire. Notre parti a dénoncé avec énergie
l’acharnement sanglant du despote libyen. 20 mars 2011. Chawki Salhi. SG PST Il faut agir pour un pôle de gauche
en Algérie Interview de Chawki Salhi,
porte-parole du PST in le quotidien Algérie news du dimanche 06 mars 2011 Algérie News : Vous
revenez de Tunisie où vous aviez assisté au triomphe de la révolution du
jasmin; quel diagnostic faites-vous de cette expérience unique, qui a
constitué le détonateur d’autres soulèvements populaires ? Chawki Salhi : Le modèle libéral benaliste
tant vanté par nos élites politiques et tant choyé par les grandes puissances
capitalistes a explosé. L’ordre autoritaire institué avec le programme
d’ajustement structurel de 1985 est tombé sous les coups de ses victimes. Le
premier acquis, immense, est ce sentiment de fierté, cette dignité retrouvée
qui change le rapport de forces dans la société et permettra une insolence de
ceux d’en bas. La société bouillonne, les gens discutent partout, des
marches, des protestations sociales, une effervescence sur Internet, la vie
associative se reconstruit. A Tunis, personne ne parle de jasmin. La
préoccupation centrale : démanteler le système despotique. Autour, on parle
de fiche de paie, de titularisation, de chômage massif des jeunes diplômés,
de régions désertifiées, et du rôle des structures de l’UGTT qui ont vertébré
la révolte, l’auto-organisation populaire, toutes choses occultées par la
propagande impérialiste. Mais la révolution tunisienne est en mal de
perspectives. Dégager Ben Ali et les symboles de son régime ne suffira pas
pour sortir de la dépendance et bannir la précarité sociale ainsi que
l’autoritarisme politique qui va avec. Des décennies de glacis benaliste ont
empêché que se constituent des représentations politiques, que se dessinent des
alternatives. La révolution tunisienne commence à peine. Lire
la suite de l'interview Non au massacre du peuple
libyen ! Solidarité ! Le PST dénonce la tuerie à ciel ouvert des
manifestants libyens pour la démocratie. Alors que les victoires éclatantes
des révolutions tunisiennes et égyptiennes viennent de chasser leurs
dictateurs, alors que les protestations démocratiques massives se développent
dans plusieurs pays de la région, l’acharnement sanglant du despote libyen
qui massacre son peuple dans un silence assourdissant exige notre
mobilisation. Solidarité avec le peuple libyen. SN du PST, 21 02 2011 Non à la répression des étudiants en
lutte ! Le PST dénonce la répression brutale du
rassemblement étudiant devant le ministère de l’enseignement supérieur. Alors
que les incohérences en matière d’équivalence ont mobilisé de larges secteurs
de la communauté étudiante, le pouvoir qui reconnait la légitimité des
revendications et annonce de premiers reculs préfère continuer le débat
social par la bastonnade de notre jeunesse. Cette répression est vaine, les
étudiants ne renonceront pas à leur avenir pour éviter un coup de matraque.
Cette brutalité ne fait que confirmer le caractère antipopulaire de ceux qui nous
gouvernent. SN du PST. Alger, le 21 02 2011 Manifestation
victime de la surenchère Les 1000 à 2000 manifestants présents à la
place du 1° mai le 12 février en réponse à l’appel de la coordination
nationale pour le changement démocratique n’ont pas réussi à marcher sur la
place des martyrs comme prévu par les organisateurs. L’impressionnante
mobilisation de l’appareil répressif, les intimidations par l’interpellation
policière d’une centaine de manifestants ont évidemment rendu impossible
toute initiative allant dans ce sens. Lire la suite du texte de Nadir Djermoune du
.17 02 2011 Pour une solidarité avec les peuples égyptiens et
tunisiens Après la révolution
tunisienne qui a joué le rôle de catalyseur, les populations égyptiennes ont
repris le flambeau des revendications sociales et politiques, pour converger
vers une contestation totale du pouvoir en place. Malgré la répression féroce
des manifestations, des millions d’Égyptiens ont bravé le couvre-feu en
engageant des confrontations sanglantes avec les forces de répression. Lire la
déclaration du SN du PST du 08/02/2011 A propos des annonces de Bouteflika Que vive la révolution tunisienne ! Résolution
adoptée par la Direction Nationale du PST dans sa
réunion extraordinaire du 14 janvier 2011 Sur la révolte populaire 1 Le PST soutient le mouvement populaire. 2 Prétexte de l’explosion : la hausse des
prix causée par les monopoles privés de l’agro alimentaire. 3 Raison de la révolte : la mal-vie,
le chômage, l’absence de logements et de loisirs. C’est le bilan de 20 ans de
libéralisme ! L’imputer au tournant patriotique, timide et inconséquent,
n’est pas sérieux. Le chômage et la crise du logement ne datent pas de
2009 ! 4 Cause du caractère désordonné de la
révolte : La fermeture politique, le démantèlement systématique de toutes les
tentatives de bâtir des représentations syndicales et politiques du peuple. Tâches 5 Il s’agit de dénoncer le libéralisme,
responsable des souffrances des masses. C’est notre priorité - Dissolution des monopoles privés de
l’agroalimentaire. Monopole de l’Etat sur le commerce extérieur et la
distribution des produits alimentaires de base. Dénonciation de la reculade
du pouvoir - Rétablissement des prix fixés,
subventionnés et contrôlés par l’Etat. - Echelle mobile des salaires. Quand les prix
augmentent les salaires doivent augmenter autant. - Allocation chômage de 50% du SNMG 6 Il s’agit aussi de dénoncer la fermeture
politique - Non à la répression ! Exigeons la
libération des jeunes pris en otage ! - Levée de l’Etat d’urgence !
Rétablissement des libertés d’expression, des libertés d’organisation syndicale
politique et associative, des libertés de manifestation et de grève ! 7 Alors qu’ils sont censés exprimer et
organiser les salariés, premiers concernés par l’agression des prix contre le
pouvoir d’achat, L’UGTA et les syndicats représentatifs n’ont proposé ni
grève générale, ni aucune autre action. Cette faillite est à comparer avec
l’implication déterminée de l’UGTT dans la structuration de la révolte
populaire en Tunisie. La déclaration UGTA –PT se veut anti libérale et
dénonce les spéculateurs mais elle trahit les travailleurs en ne soutenant
pas les jeunes révoltés et en affirmant que le programme présidentiel
travaille en faveur des masses. 8 La DN souhaite la participation à toutes
les actions qui vont dans le même sens que nous. Unité la plus large pour la
libération des détenus et pour les libertés. Mais notre combat antilibéral et
démocratique, porteur des aspirations des jeunes, ne doit pas renforcer les
campagnes hostiles au protectionnisme de la bourgeoisie et des courants
ultralibéraux. 9 Il faut construire les outils
d’organisation syndicale et politique ! C’est le seul moyen de dépasser
la désorientation de la jeunesse et des masses populaires. C’est le seul
moyen de faire cesser la désorganisation actuelle des luttes et l’absence de
perspectives. - Il faut un syndicat de classe autonome
démocratique et combatif, implanté et représentatif - Il faut un grand parti des opprimés Sur la crise révolutionnaire en Tunisie 10 La Direction Nationale du PST - Salue la lutte courageuse du peuple
tunisien qui a fait tomber le dictateur. - Salue l’UGTT dont les grèves et les
manifestations ont structuré la protestation populaire. - Salue les camarades qui œuvrent pour la
libération démocratique et sociale. لا للبرالية
! لا
للسوق
الحرة ! من أجل سياسة
في خدمة
حاجيات
الشعب ! تيبازة
، الجزائر،
وهران،
باتنة،
بجاية ، الشلف،
برج
بوعريريج ...المظاهرات
تجتاح كل
المدن
الكبرى عبر
الوطن ،معلنة
بذلك فشل
السياسات
المنتهجة
منذ عدة عقود،
مؤكدة بما لا
يدع مجالا
للجدل بأن
الخيار
الليبرالي
يتناقض
تماما مع
ضرورة
التكفل
بالحاجيات
الضرورية
للجماهير
الشعبية. لقد
عبّر الشباب
في كل مكان عن
غضبه أمام
هذا الارتفاع
الناري
لأسعار
المواد
الاستهلاكية
القاعدية،
إنهم يصرخون
بملء
حناجرهم أمام
حالة اليأس
: انعدام
السكن ، ندرة
فرص العمل
الحقيقية ، و
عدم وفرة
وسائل
الترفيه في
وطن أصبح
سجنا حقيقيا ... سجن تمنعهم
أوربا من
مغادرته ولو
على قوارب
الموت ! مجتمع
مشلول، في
أزمة خانقة
: شبيبة
فقيرة في بلد
غني ... إن هذه
المظاهرات
أيضا تعبير
عن سخطهم
أمام الثراء
الفاحش
للأغنياء الجدد
، تعبير
أيضا عن رفض
الفساد
والرشوة التي
تنخر البلاد .. إنهم
يقولون كفى ،
كفى للحقرة
والذل
والقمع . إن
تقاليد
المظاهرات
والنزول إلى
الشارع كلما
ضاقت سبل
الحياة،
ليست جديدة
: وما حدث
في براقي
وديار الشمس... مازال
صخبه يتردد
في الآذان مصاحبا
كل معارك
إعادة
التسكين ! إن
الغضب
الشعبي كان
في غليان منذ
أشهر عديدة : في تلك
النزاعات من
أجل كيس من
الحليب ، في
البحث عن
مخبزة
مفتوحة... كانت
الجماهير
تعبر عن
حنقها
الشديد أمام
الملايير
المسروقة ،
والهدايا
الملكية
التي كانت
تمنح لأمراء
الخليج ، و
السلاطين
الصغار
الجزائريين
،أو للسادة
الأوربيين ،
من أولئك
المعفيين من
الضرائب.
إن
الشرارة
الأولى لهذا
الانفجار
الاجتماعي
هي الزيادة
في أسعار
السكر
والزيت و
المواد
الغذائية
العامة ،
وكأن ما قام
به الشبان التونسيون
كان ملهما
لشباب باب
الوادي
ووهران ! ثم جاء
توزيع السكن
الاجتماعي
ليلهب نار
الحقد على
الفساد
والرشوة . إنهم يريدون
منا أن
ننتظر،
بينما نحن
نرى ثرواتهم تزداد
دون انتظار ! إن
الزيادات في
الأجور ،
التي حصل
عليها عمال القطاع
العام بعد
سنوات من
النضال
والإضرابات
والقمع ، لا
تساوي شيئا
أمام هذا
الغلاء ،خاصة
بالنسبة إلى
الفئات
الدنيا في
هرم الأجور ،
أي الأغلبية
الساحقة . وهذه
الزيادات
التي لم تطبق
بعد في كل
القطاعات قد
التهمتها
الزيادات في
الأسعار! هذا
فضلا عن كون
العمال في
القطاع
الخاص لم يحصلوا
على أية
زيادة تذكر ! إن
جميع
اتفاقياتنا
القطاعية
يجب أن تخضع
لما يسمى
السّلّم
المتحرك
للأجور ،
بمعنى أنه
بكل بساطة : كل زيادة
في الأسعار
يجب أن
تتبعها
زيادة مساوية
لها في
الأجور ! إن قيمة
الدينار
قُسمت على 20 منذ سنة
1994 ! كل ذلك من
أجل توفير يد
عاملة
رخيصة، شبه
مجانية
للمستثمرين
إنهم يتغنون
الآن بهذا
الدين الجديد
الذي يسمونه " حرية
السوق " ! ومع ذلك
يخفضون قيمة
الدينار
بقرار إداري
تلبية
لأوامر
سادتهم في
صندوق النقد الدولي ،وفي
نفس الوقت
يقومون
بتحرير
الأسعار ! إننا
نطالب
بالعودة إلى
فرض الأسعار
من طرف الدول
،على كل
المواد
الاستهلاكية
الضرورية،
مع تحديد
هوامش الربح
بكل دقة
وشفافية . عائدات
البترول
تصرف في
مشاريع
عملاقة، وفي نفس
الوقت يتم
تسريح عمالنا
، وشبابنا
لا يجد عملا ! إن
رجال
الأعمال
يحبون جزائر
الصفقات
الكبرى
،وشبابنا
يهربون منها
على متن
قوارب الموت! والمنعطف
الوطني الذي
أعلنوا عنه
،يتناقض
بشكل صارخ مع
الواقع
الميداني ،
إذ يقدمون
الوعود
والهدايا
لأمراء
الخليج وسادة
أوربا ! لقد آن
الأوان
للبحث عن
وجهة أخرى
لسياستنا ! كل
استثماراتنا
يجب أن تكون
في خدمة
التنمية المحلية،وتلبية
حاجيات
الشعب : السكن،
الشغل، الصحة
،النقل،
التكوين ... إنهم
يتهمون
شبابنا
بالعنف اليائس
، ولكن هل
تركت لهم
السلطة
خيارا آخر
لإسماع
أصواتهم ! هل
يمتلك شباب
جمعية كاسري
الحجر حلا
آخر للتعبير
عن وضعهم ،حين
نعرف أن
جمعيتهم
حرمت حتى من
قرار يسمح لها
بالنشاط
العلني
القانوني ! وماذا بوسع
النساء أن
يفعلن حين
يُمنع عليهن
عقد ملتقى
حول العنف
الممارس ضد
النساء في
الجزائر ! وما
العمل حين
تواجه
المسيرات
والإضرابات
بالهراوة
والمتابعة
القضائية !! !معا من
أجل حرية
التعبير و
التنظيم
والتظاهر والإضراب شوقي
صالحي ألأمين
العام لحزب العمال الاشتراكي الجزائر في 09 جانفي 2010 Non au
libéralisme ! Non au libre marché ! Pour une politique
au service des besoins du peuple ! Tipaza, Alger ,
Oran, Djelfa, Batna, Béjaïa, Chlef, Bordj… les émeutes qui s’étendent à
travers le pays soulignent l’échec de la politique suivie depuis plusieurs
décennies et confirment que le choix du libéralisme contredit la prise en
charge des besoins élémentaires des masses populaires. Partout, les jeunes ont dit leur colère
face à l’envolée des prix des produits de base, ils ont dit leur détresse
devant l’absence d’un logement, ils ont dit leur désespoir devant la rareté
des emplois, ils ont dit leur malheur dans une vie sans loisirs, dans un pays
prison que l’Europe leur interdit de quitter, dans une société bloquée, en
crise. Jeunesse si pauvre dans un pays si riche, ils ont aussi crié
leur haine des nouvelles classes possédantes, leur refus de la corruption,
leur rejet de l’humiliation et leur détermination contre la répression. La tradition émeutière n’est pas nouvelle.
Baraki, Diar Echems résonnent encore des batailles pour le relogement.
Depuis plusieurs mois le mécontentement bouillonne. Dans les bagarres pour
l’introuvable sachet de lait, dans la recherche d’une boulangerie ouverte, on
disait sa rage devant ces milliards volés, devant ces cadeaux princiers faits
aux émirs du golfe, aux roitelets algériens ou aux seigneurs d’Europe, tous,
dispensés d’impôt. A l’origine de l’explosion, l’augmentation
du sucre, de l’huile et des produits d’épicerie. Le spectacle de la révolte
légitime des jeunes de Tunisie a, bien sûr, inspiré Bab el Oued et Oran. La
distribution des logements sociaux a ravivé la haine de la corruption. On
nous demande d’attendre mais on voit les fortunes monter sans attendre.
Les augmentations de salaires obtenues dans
le secteur public, après des années de luttes, de grèves, de
répression, sont dérisoires pour les petites catégories, c'est-à-dire pour la
majorité. Et ces augmentations qui ne sont pas encore appliquées partout sont
déjà mangées par la hausse des prix. Les travailleurs du privé, ont rarement
été augmentés. Toutes nos conventions collectives doivent
inscrire l’échelle mobile des salaires : quand les prix augmentent le
salaire doit augmenter autant ! La valeur du dinar a été divisée par
20 depuis 1994, pour offrir des ouvriers algériens presque gratuits aux
investisseurs. On chante la nouvelle religion de la liberté du marché mais,
sur ordre du FMI, on a administrativement baissé le dinar pendant qu’on
libère les prix,! Retour aux prix imposés par
l’Etat, pour tous les produits de base. Les revenus du pétrole sont dépensés dans
des projets géants mais nos vieux ont été compressés et nos jeunes n’ont pas
de travail. Les hommes d’affaires des grandes puissances aiment l’Algérie des
grands contrats et nos jeunes la fuient sur des bateaux de fortune. Le
tournant patriotique annoncé est contredit sur le terrain par des cadeaux aux
émiratis et les promesses aux Européens. Il faut réorienter notre
politique ! Nos investissements doivent viser le
développement pour la satisfaction des besoins du peuple logement, emploi,
santé, transport formation. On reproche à nos jeunes leur violence
désespérée. Mais le pouvoir laisse t-il un autre moyen de se faire entendre
quand l’association des tailleurs de pierre est privée d’agrément, quand un
séminaire contre la violence faite aux femmes n’est pas permis, quand les
marches, les grèves subissent la matraque et les poursuites judiciaires. Pour les libertés d’expression,
d’organisation, de manifestation et de grève ! Chawki Salhi. SG du
PST Alger, le 06 janvier
2011 Solidarité avec les travailleurs et
les jeunes de Tunisie ! La révolte sociale qui s’étend à travers la
Tunisie est le résultat de l’échec de la politique libérale antisociale du
régime policier de Ben Ali. Le mouvement est parti de la région de Sidi
Bouzid au centre-ouest de la Tunisie, le 19 décembre, à la suite d’une
tentative de suicide d’un jeune de 26 ans, diplômé de l’université. Les
violents affrontements entre la police et les manifestants ont fait un tué et
dix blessés. Ces révoltes ne sont pas des actes isolés.
Exclues du « miracle économique » présenté comme vitrine du régime,
les populations du Bassin Minier de la région de Gafsa, de La Skhira et de
Ben Guerdane luttent depuis trois ans, et aujourd’hui celles du gouvernorat
de Sidi Bouzid, manifestent et se soulèvent pour exiger des emplois, la fin
de la corruption, du favoritisme et de l’injustice. Des travailleurs, des
syndicalistes ont organisé des manifestations de soutien dans différentes
villes Bizerte et Tunis, Nabeul et Sfax Sousse …. La colère populaire contre la vie chère et
la marginalisation sociale démasque la vitrine du libéralisme proposée par le
FMI et la Banque mondiale. Elle rappelle le chômage massif des jeunes et la
dégradation des conditions de vie des masses populaires à travers tout le
Maghreb. La seule réponse des autorités est la
répression : arrestations massives, tortures, quadrillage par la police
et l’armée qui n’hésitent pas à tirer à balles réelles sur la foule, causant
plusieurs morts et des dizaines de blessés. Le PST affirme son plein soutien aux luttes
légitimes des travailleurs et des jeunes tunisiens pour l’emploi, la dignité
et contre les méfaits de la politique capitaliste libérale qu’ils subissent
depuis un quart de siècle. La PST appelle à la solidarité nationale
avec les masses populaires en lutte pour exiger l’arrêt de la répression, la
libération des personnes arrêtées, le départ des forces de police et de
l’armée et le rétablissement des libertés démocratiques confisquées. SN du PST. Alger, le
03 janvier 2011 Hommage à notre
camarade Ghania Le PST vient de perdre une camarade, la
Direction Nationale réunie le 24 septembre rend un hommage solennel à la
camarade Ghania Cherif décédée le 24 Aout suite à une maladie. Cette perte tragique est un coup dur pour
Mahmoud, sa fille Narimane pour sa famille et tous ses camarades. La masse des présents à son enterrement,
venus d’horizons sociaux divers, nous renseigne sur les qualités humaines,
professionnelles de la camarade Ghania. Ses camarades, ami(es) et collègues
garderont de Ghania l’image d’une battante s’engageant totalement dans tous
les combats qu’elle a menée : elle s’engagea très jeune dans le GCR puis
dans le PST, dans le mouvement étudiant (SNEAD), dans le mouvement pour les
droits des femmes (AEF,…), syndical (SNJ, UGTA) et ces dernières années dans
son travail journalistique à la radio nationale. DN du PST. Alger, le
24 septembre 2010 Le PST dénonce les inculpations des non
jeuneurs et les atteintes à la liberté de conscience et s’associe à toutes
actions de solidarité. Notre camarade Nadir propose au débat la réflexion
ci-dessous. Inquisition et régression démocratique L’interpellation de personnes n’observant
pas le jeûne durant le mois du Ramadan est devenu depuis quelques années un
acte coutumier. Le «non-jeûne» pendant ce mois est désormais un délit,
sans toutefois qu’il soit explicitement sanctionné par une loi. Au ramadhan de cette année, ce sont d’abord
deux personnes, des ouvriers travaillant dans un chantier privé à Ain El
Hammam dans la wilaya de Tizi ouzou, qui sont « surpris » par
des policiers en train de boire de l'eau durant la pause-déjeuner. Elles ont
été interpellées pour «dénigrement et non-respect des préceptes de l'Islam».
Ils comparaîtront devant le juge le 21 septembre. A noter que l'un des deux
prévenus est, selon la presse, de confession chrétienne. A Ouzellaguen, dans la wilaya de Béjaïa,
c’est une dizaine de personnes qui ont été interpellées à l'intérieur d'un
restaurant fermé. Le propriétaire du restaurant a été relâché après avoir été
placé en détention provisoire. Sept personnes parmi les prévenus sont citées
à comparaître et les deux autres sont désignées comme témoins à charge. Le
procès qui s'est ouvert le 6 septembre a été reporté au 8 novembre prochain. L’autre affaire en date, liée à ce nouveau
délit, concerne, une autre localité du pays. Il s'agit de Tébessa où trois
personnes ont été placées sous mandat de dépôt par le procureur de la
République auprès du tribunal pour «atteinte aux préceptes de l'Islam». Les
prévenus ont été surpris par les éléments de la police judiciaire en train de
déjeuner près de la muraille de la citadelle antique en plein centre-ville de
Tébessa. Ces événements nous interpellent et exigent
de nous sensibilisation et action. Car disons-le clairement, c’est de
l’Inquisition. Sur le plan juridique, rien n’autorise les
policiers à interpeler les citoyens qui n’observent pas le jeune. Il n'y a
aucune base légale sur laquelle peuvent s'appuyer ces poursuites. Aucun
texte pénal n'incrimine le fait de ne pas faire le Ramadhan. Ces arrestations
sont donc arbitraires et contraires à la Constitution algérienne qui garantit
pourtant la liberté de conscience. Nous assistons en l’occurrence à une grave
atteinte à la liberté des citoyens. Toutefois, afin de justifier ce qui peut
être pris comme un excès de zèle de la police et de la justice algérienne, il
y a une loi qui place la religion au dessus de la législation civile et qui
met, selon l’article 144 bis du code pénal, «tout individu qui porte atteinte
aux préceptes de l'Islam par des écrits, des dessins ou tout autre moyen (…)
passible de 3 à 5 ans de prison…». Et comme toutes les lois y compris divines
sont sujettes à interprétation diverses, il est facile pour la justice
algérienne de mettre ces non-jeûneurs dans le registre d’atteinte aux
préceptes de l'Islam et donc dans une situation d’infraction. Les premières réactions à travers les
médias dénoncent à juste titre l’arbitraire de la justice algérienne et son
caractère antidémocratiques dans l’atteinte aux libertés individuelles. Elles
ont cependant tendance à s’appuyer sur un argumentaire puisé d’un
nationalisme religieux (l’islam algérien) ou sur la tradition régionale
(l’islam de nos ancêtres). Mais parlant de l’islam algérien, s’agit-il du
réformisme des Oulemas qui, rappelons-le était à la traine du mouvement de
libération national ou celui des Zaouias qui, rappelons-le encore, a
rapidement abdiqué devant la puissance coloniale. Et nos ancêtres, s’agit-il
des « Elmouwahiddine » sous la houlette des berbères abdelmoumene
et Ibn Tumert, traducteurs du Coran en berbère et qui ont unifié le Maghreb
et l’Andalousie avec le sabre et le « goupillon », ou s’agit-il de
la pratique et de la pensée d’IbnKhaldoun et d’IbnRochd ? Autant de
questions qui nécessitent aujourd’hui débats, réflexions et recherches avec
les acquis philosophiques et démocratiques du 21° siècle. Si certaines
lectures considèrent que le musulman
est théologiquement habilité au libre examen des Ecritures sacrées, il faut
reconnaître aussi que cette liberté spirituelle des musulmans d’avoir accès
au libre débat sur les lectures du texte coranique est confisquée par les
Etats musulmans en la détournant à leur profit à l’image du ministre des
affaires religieuses qui déclare sans ambages que si « la liberté est
assurée en Algérie. Seulement, cette liberté ne concerne que le politique et
non la religion ». Voila pourquoi il est nécessaire d’agir
politiquement sur le terrain de la liberté individuelle et de conscience,
comme le garantit la Constitution algérienne que sur le terrain juridique et
encore moins sur le terrain religieux. Car la religion elle-même, comme nous
venons de le souligner, est sujette à interprétations et à des pratiques
diverses. C’est souvent au nom d’une Vérité religieuse, la « grande cause »,
que les actes de violence sont justifiés et qui peuvent aller jusqu'à
tuer d’autres hommes. Mais de quelle grande cause s’agit-il ici ? Est-ce
celle de défendre une Oumma blessée par une force matérialiste, athée, par un
ennemi qui aurait décrété la mort de Dieu ? Cette « Vérité » est en
réalité et en dernière instance le fruit d’interprétation des hommes. Aujourd’hui l’occident, défini dans ses
contours judéo-chrétiens, est souvent pointé du doigt pour sa violence et sa
stigmatisation de l’islam et des musulmans. Ces inquisitions sont souvent
justifiées par un repli identitaire face à un occident capitaliste
envahissant. La lutte contre cette Europe capitaliste et islamophobe est
nécessaire en dénonçant la stigmatisation des musulmans, la prétendue
violence et délinquance ethnique qui leur est attribuée, la croyance en
l’existence d’un conflit de civilisation. Mais la reconnaissance du droit des
hommes et de femmes de culture musulmane à pratiquer librement et sur la
terre entière va de pair avec la reconnaissance du droit de pratiquer ou de
ne pas pratiquer librement. Cela passe par un changement politique,
démocratique et laïc radical au sein du pouvoir et dans la société. Nadir Djermoune Le 19 09 2010 -- ضد
الاعتداء
الجيش
الصهيوني
الغاشم! من
اجل الكسر
الفوري
للحصار
القائم على
غزة! إن
الجريمة
البشعة التي
ارتكبها
الجيش الصهيوني
ضد مناضلي
الحرية و
التضامن مع
الشعب الفلسطيني
من اجل كسر
الحصار الذي
يشكل جريمة
إنسانية في
حق سكان غزة٬هي
حلقة من
المسلسل
الإجرامي
المتواصل
منذ تأسيس
الكيان
الصهيوني. هذه
الجرائم
أصبحت ممكنة
جراء
الحصانة و
الدعم
المستمر
للامبريالية
الرأسمالية
العالمية٬
وبصفة خاصة
الولايات
المتحدة
الأمريكية ٬
التي تمثل
إسرائيل
حارسا
لمصالحها في
منطقة الشرق
الأوسط . يعتبر
حزب العمال
الاشتراكي
هذا العدوان
الجديد جريمة
حرب و قرصنة
موصوفة٬
تتطلب ردا
عمليا في
مستوى
التحدي الذي
يجسد كسر
الحصار
المفروض على
غزة من طرف
الكيان الصهيوني
بمشاركة
النظام
المصري و
تواطؤ الدول العربية
العميلة. -
من اجل
الكسر
الفوري
للحصار
المفروض على
غزة -
من اجل حصار
و مقاطعة
الكيان
الصهيوني -
من اجل
مساندة
مقاومة شعب
الفلسطيني
لاسترجاع حقوقه
الوطنية بكل
الوسائل بما
فيها الكفاح المسلح القيادة
الوطنية
لحزب العمال
الاشتراكي الجزائر
04 جوان 2010-06-06 يمثل الفاتح من
شهر ماي من هذا
العام 2010 فرصة للوقوف على
مدى تطور النضالات
العمالية و الشعبية
، و كذا للاحتفال
بالانجازات الأولى التي
حققناها في معاركنا
، إنه أيضا
محطة لرصد
نقائصنا و رسم
معالم المستقبل . إن الرأسمالية
العالمية تغرق
في أزمتها ، و تجرف معها شرائح هائلة من الإنسانية
و تقذف بها إلى دوّامة
الحيرة ، ساعية
بذلك إلى
الحفاظ على مكاسبها
، فيما تزداد الرهانات
المتعلقة بالغذاء
و الصحة و الطاقة و المناخ .. إلحاحا . و في
بلادنا اليوم
حتى دعاة الليبرالية ( في السلطة كانوا
أو في المعارضة ) يقرون بفشل هذه السياسة
التي أملتها علينا
القوى الكبرى
، سياسة بددت مواردنا
، و فككت قدراتنا الإنتاجية
، و فتحت أبواب
أسواقنا مشرعة للشركات
المتعددة الجنسيات . منعرج وطني غير منطقي
و متناقض يدّعي بوتفليقة
و أويحيى اليوم
بأنهما تابا عن سياستهما
الليبرالية المتطرفة
و الانتحارية ، و لكن المنعرج
الوطني الذي يحاولان
رسمه مبني
على اللامنطق
و التناقض : فهما يسندان مهمة
إعادة الاعتبار
للمؤسسات الوطنية ،
على نفس الأشخاص
الذين أشرفوا على تدميرها
، و يكلفان
من كانوا مسؤولين على تبعيتنا
الغذائية بحماية
اقتصادنا ! و فيما
يماطلون في إعادة
تقويم المؤسسات يواصلون منح
العقود و الامتيازات
للشركات المتعددة
الجنسيات . و فيما
تسعى القوى العظمى
جاهدة لإلغاء الإجراءات
المحتشمة الخاصة بحماية الاقتصاد
، و تنظم العقوبات
الديبلومسية ، و تحرك شبكاتها
الداخلية ، يبقى
هذا النظام
المتمحور حول
شخصية الرئيس
، ضعيفا و هشا ، بل و
مشلولا . و يغرق
في صراعات داخلية
تحضيرا لاستخلاف الرئيس . أما الطبقات الأكثر
ثراء فقد كشفت
عن ضحالتها الاقتصادية
، و تبعيتها السياسية
، بحيث جعلها
اندماجها في دوائر
الاستيراد و الـ" بزنسة "تعارض هذا المنعرج
الموجّه أصلا
إلى حماية المنتجين
المحليين . ! العمّــــــــال هم الحـــل في الوقت
الذي يجد الشباب
أنفسهم في وضع
هش جدا
، و فيما تحس الجماهير
الشعبية بتهديد الفقر و الغبينة
كل يوم ، يتواصل
يوميا الاعلان
عن مشهد للفساد
البشع و الرشوة الشاملة و
النهب الجشع في
صالح الأثرياء المحليين
و أسيادهم الأجانب . خمسون سنة مضت على
الاستقلال ، و
على الرغم من الثروات الضخمة
التي أودعتها
السلطة في البنوك الأجانبية
، فإن الجزائر
اليوم تتقهقر ! إن هذا
التبديد الاقتصادي
و الاجتماعي يزرع الفشل و اليأس . إلى ذلك كله تضاف
الثقة المنعدمة
في كل التمثيلات
السياسية ، هذا اليأس
و هذه الحيرة يشكلان هدف
كل العروض التي
يتقدم بها
كل يوم منقذو الأمة
الصغار، في اقتراحاتهم
لتعويض بوتفليقة و لاداء سياسة مشابهة
لسياسته . و لا
يكمن الحل في المزايدات عن الهوية. إن الاستغلال
الرأسمالي و النهب
الإمبريالي لا علاقة لهما
بالقضايا الأخلاقية
و الدينية
، و لا يتعلقان
بمسألة جهوية
أو لغوية
، إنهما استعباد
للإنسانية قاطبة في كامل تعددها
الثقافي و تجاربها
التاريخية . إن تجربة
العقود الأخيرة أكدت بما لا
يدع مجالا
للشك على أهمية
دور العمال و الجماهير الشعبية في
كل الإنجازات
السياسية و الاجتماعية
، ففي المجال السياسي
و الدفاع عن الحريات
كانت محطات 80 و 88 حاسمتين جدا ، كما كانت
محطات 80 و 94 جوهرية بالنسبة إلى
الدفاع عن الأمازيغية
، أما فيما
يتعلق بالدفاع
عن مؤسساتنا فقد
تميزت سنوات 2001 و 2003 بمدّ عمالي هائل
، كما تميزت سنوات 2002 و 2009 باستماتة قوية من أجل
الدفاع عن مجانية
العلاج و كذا التقاعد . نعم إن نضالاتنا
هي التي أرغمتهم
الإنفاق أكثر من أجل
إسكاننا و تعبيد
طرقاتنا ، و إلا لمنحوا
تلك الأموال لـشركة بي ر سي و طونيك أو
فالكون أو لوسطائهم
من الإمارات العربية ! في الحجار
من أجل إسقاط القناع
عن وجوه المافيا ،
مع المعلمين ،
و عمال السكة الحديدية
، و عمال المنطقة
الصناعية بالرويبة
من أجل الدفاع
عن الأجور ، مع الشبان في
ديار الشمس من
أحل إعادة الإسكان ..العمال و الجماهير
الشعبية ليست
مصدرا للمشاكل ، إنها مصدر
للحلول دائما .! عمال السكة الحديدية
، و مستخدمي البلديات يعيدون الهجوم ! بعد سنوات من الإضرابات
الممنوعة و التجمعات المقموعة
في أحيائنا ومداشرنا
، و بعد سجن
و إدانة شباننا
الثائرين و التحرش بالنقابيين
و اعتقالهم ، ها
هي النضالات الشعبية تعود
من جديد و ترغم
السلطة على بعض التنازلات
، و هي قليلة بالنظر
إلى الاحتياجات
الاجتماعية الهائلة
، و قليلة أيضا بالنظر
إلى أسعار الخضر
و المواد الاستهلاكية
عامة . و لكن أويحيى
الذي أرغم على
قبول الزيادات في الأجور
، ثم أرغم ثانية
على قبول الأثر الرجعي للمنح
و التعويضات ،
و بعد أن تنازل على بعض السكنات
ها هو يغتنم فرصة ضبابية الرؤية في
الأوساط النقابية
في قطاع التربية و
يحاول إخماد شعلة
الاحتجاج و يريد أن يفرض
علينا قانون العمل " الجديد " ، قانون
التقهقر الاجتماعي ! و لكن
على الرغم من التحرش
و التهديد ، فإن عمال السكة
الحديدية نجحوا
في فرض إضرابهم ، و نفس الأمر
للمطالبين بالسكن
، و الأطباء من جهتهم عادوا
إلى تجمعاتهم
الاحتجاجية ، و الأساتذة
على أهبة الاستعداد
للعودة إلى ساحة الإضراب
، و العمال في الحجار يعدّون معاركهم المقبلة . من أجل
بديل ديمقراطي
معادي لليبرالية
، معادي
للرأسمالية ! هل يمكن أن نعوّل على
من يستفيد من استغلالنا
من أجل تحسين
حالة الجماهير
الكادحة ! ! كــــلاّ ! فلنقم إذن بتنظيم
التعبئة العمالية
و الشعبية ! لنفرض حرياتنا الديمقراطية ! و لنكن
كلنا من أجل نقابة
طبقية مستقلة ديمقراطية
و مناضلة ! و هل يمكن أن نعوّل على
أرباب التبعية
و الاستيراد من أجل بناء اقتصادنا
الوطني !! و هل يمكن أن نعوّل
على بورجوازيتنا
هذه ، و هي
تبني ثروتها على
الصفقات المشبوهة
و الفساد ! كــــلاّ !! فمن أجل النضال
ضد الفساد و الرشوة
لا بد على الأقل من رفع
السر البنكي . من
أجل برنامج
تنموي في
خدمة
الحاجيات
الاجتماعية
للجماهير ! و
لنساهم كلنا
في بناء حركة
سياسية لحزب
يمثل حقا
العمال
والشباب و كل المقهورين . تحدياتنا
هي على صعيد
عالمي ،
فلنؤسس
لتضامن عالمي
حقيقي. Déclaration du 1er
mai Ce 1er mai 2010 est l’occasion
de fêter le développement des luttes ouvrières et populaires et de célébrer
les premiers acquis de notre combat, c’est aussi l’occasion de faire le point
sur nos faiblesses et de tracer nos perspectives. Le capitalisme mondial s’enfonce dans la
crise et précipite dans le désarroi des pans entiers de l’humanité pour
préserver les profits alors que les défis alimentaires, sanitaires,
énergétiques et climatiques se font plus pressants, Dans notre pays, les partisans du
libéralisme, ceux du pouvoir comme ceux de l’opposition, avouent l’échec de
cette politique dictée par les grandes puissances, une politique qui a
gaspillé nos ressources, démantelé nos capacités productives et livré le
marché aux multinationales. Un tournant patriotique inconséquent et
contradictoire Bouteflika et Ouyahia, disent se repentir
de leur politique ultralibérale suicidaire, mais le tournant patriotique
qu’ils peinent à mettre au jour est fait de contradictions et
d’inconséquence. On confie la réhabilitation des entreprises à ceux qui ont
dirigé leur destruction. On charge ceux qui aggravé la dépendance de
protéger notre économie. Et pendant que le redressement des entreprises
traine, on continue d’offrir les contrats et les concessions aux multinationales.
Pendant que les grandes puissances
utilisent tous leurs moyens pour annuler les timides mesures
protectionnistes, organisent les représailles diplomatiques, mobilisent leurs
relais locaux, le régime, centralisé autour du Président affaibli, semble
paralysé. Il se déchire dans les luttes de succession. Les classes
possédantes révèlent leur inconsistance économique et leur vassalité.
Leur intégration dans les circuits d’importation et d’affairisme les place
dans l’opposition à un tournant pourtant destiné à servir les producteurs
nationaux. Les travailleurs sont la solution ! Alors que la jeunesse est livrée à la
précarité et que les masses populaires sont menacées de clochardisation, le
spectacle odieux de la corruption massive et du pillage systématique au
profit des possédants nationaux et au profit de leurs tuteurs étrangers est
révoltant. 50 ans après l’indépendance, l’Algérie régresse malgré les
réserves immenses prêtées aux pays riches. Ce gâchis économique et social
sème le défaitisme et le désespoir. Il y a aussi une perte de confiance dans
toutes les représentations politiques. C’est ce désarroi que ciblent les
offres de service de petits sauveurs de la Nation qui se proposent de
remplacer Bouteflika pour conduire une politique qui lui ressemble. La solution n’est pas non plus la
surenchère identitaire. L’exploitation capitaliste et le pillage
impérialiste ne sont ni une question morale ou religieuse, ni un
problème régional ou linguistique, ils accablent l’humanité entière dans la
diversité de ses cultures et de ses expériences historiques. L’expérience des dernières décennies
confirme le rôle nécessaire et déterminant des travailleurs et des masses
dans toutes les avancées politiques et sociales, pour les libertés en 80 et
88, pour tamazight en 80 et 94, pour défendre nos entreprises en 2001 et
2003, pour préserver la médecine gratuite en 2002 et nos retraites en
2009. Oui, ce sont nos luttes qui les ont obligés à dépenser pour
nous loger et pour goudronner nos routes, sinon ils auraient offert cet
argent à BRC, à Tonic, à Falcon ou aux intermédiaires émiratis ! A El Hadjar
pour démasquer les maffias, avec les enseignants, les cheminots et Rouiba,
pour les salaires, avec Diar Eschems pour les relogements, les travailleurs,
les masses populaires ne sont pas le problème, ils sont la solution ! Les cheminots, les communaux ont repris
l’offensive !. Après des années de grèves interdites, de
rassemblements matraqués à travers nos quartiers et nos villages, de lourdes
condamnations pour les jeunes révoltés et de persécution pour nos
syndicalistes, les luttes populaires ont obligé le pouvoir à céder un peu.
Trop peu au regard des besoins sociaux, trop peu quand on pense aux prix des
légumes. Mais après avoir concédé des augmentations et s’être résigné à
l’effet rétroactif, après avoir consenti quelques relogements, Ouyahia a
voulu profiter du cafouillage syndical chez les enseignants pour éteindre la
contestation et faire passer son code du travail, son code de régression
sociale. Mais malgré l’intimidation et les menaces, les cheminots, les
communaux ont imposé leur grève, les mal logés et les médecins ont repris
leurs rassemblements, les enseignants se mobilisent, El Hadjar se
prépare. Pour une alternative démocratique, anti
libérale et anti-impérialiste! Pour améliorer la situation des masses,
peut on compter sur ceux qui tirent profit de notre exploitation ?
Organisons la mobilisation ouvrière et populaire ! Imposons les libertés
démocratiques ! Pour un syndicat de classe autonome démocratique et
combatif ! Contre la corruption, peut-on compter sur
ceux qu’elle nourrit ? Levée du secret bancaire et contrôle
populaire ! Pour construire l’économie nationale
peut-on compter sur les organisateurs de la dépendance ? Peut-on reposer
sur notre bourgeoisie qui tire sa fortune des trafics ? Pour un
programme de développement au service des besoins sociaux des masses !
Construire le mouvement politique le parti qui représente les travailleurs,
les jeunes et tous les opprimés ! Nos défis sont à l’échelle planétaire,
construisons la solidarité internationale ! SN du PST. Alger, le 1er mai 2010 PST
Akabar
Anemlay
N’ixedamen
PST حزب
العمال الاشتراكي Le quotidien des masses populaires se dégrade.
Les produits de première nécessité deviennent un luxe, la fermeture des
entreprises continue, la corruption est généralisée. Toutes les libertés sont
bafouées et les syndicalistes sont réprimés. Mais la classe bourgeoise va
bien !! Elle étale son luxe. Rien ne changera sans une lutte
organisée et consciente de celles et ceux qui subissent cette misère. Les
travailleurs de SNVI, d’El Hadjar, de l’éducation, de la santé et la lutte
des communaux montrent la voie ! -
Pour
une vie digne, contre les emplois temporaires (CDD, pré-emploi…), pour un
emploi permanent. -
Il
faut 20 000 DA d’augmentation pour tous les travailleurs ! -
Pour
combattre la corruption, il faut lever le secret bancaire ! -
Pour
le respect des libertés syndicales et de toutes les libertés -
Pour
un syndicat de classe autonome démocratique et combatif ! Ensemble pour une alternative politique au
service des besoins sociaux des larges masses populaires Rassemblement animé par : Salhi
Chawki Et les membres de la Direction
nationale du PST Au niveau de l’esplanade de la
maison de la culture Suivi d’une MARCHE Vers le siège de la wilaya Ensemble pour un premier mai de
lutte et d’espoir Samedi 1er mai 2010 à
11heures Avril 1980 Avril
2010 SEULE LA LUTTE PAIE ! L’émergence de la question identitaire
Amazigh sur la scène publique le 20 avril 1980 a été l’aboutissement de la
résistance dans les années soixante et soixante dix. Les revendications
posées par le mouvement 80 méritent d’être rappelées : -
Identité amazigh du peuple algérien -
Reconnaissance des langues populaires ; Tamazight et arabe algérien -
Les libertés démocratiques -
Réécriture objective de l’histoire Ces revendications ont été posées de
manière indissociable du cadre de l’émancipation sociale à travers le mot
d’ordre du « Vrai Socialisme ». Lire la suite de la
dec du PST Béjaia Ou va le
capitalisme algérien ? Nouveau tournant du capitalisme algérien ? Le gouvernement d’
Ouyahia, par le biais de son ministre de l’énergie et de la promotion des
investissements A. Temmar semble vouloir donner un nouveau souffle à sa
politique en cours depuis deux ans. Les sociétés de gestion des
participations (SGP) seront remplacées par de « entreprises
nouvelles ». La première opération réalisée dans ce cadre est
l’installation d’une nouvelle entité qui a absorbé les groupes cimentiers et
les filiales de l’ex-SGP-GICA. Cette « nouvelle entreprise » est
financée totalement par les fonds publics, selon Temmar. Elle devrait donc
permettre, selon toujours le ministre, de créer « un leader
national d’industrie de ciments et autres matériaux de
construction » ; Une manière d’échapper aux spéculations qui
touchent ce secteur ?! Lire l’analyse de
Nadir Djermoune Face aux menées du
lobby néocolonial autour de Camus Alerte aux
consciences anticolonialistes Le corps de Jeanson, le dernier de nos
martyrs, n’a pas encore vraiment refroidi, que des institutions officielles
algériennes rejoignent, dans une «émouvante communion» et un tapage
médiatique sans précédent, la caravane célébrant l’écrivain et journaliste
colonial Camus, militant avéré et définitif de l’Algérie française. la
caravane qui sillonne aujourd’hui l’Algérie, associant nos institutions à
celle de l’État français, ne lui rend pas seulement un hommage qui envahit
tout l’espace médiatique algérien, de la télévision aux titres privés et qui
a été constamment refusé notamment à Francis Jeanson. Elle constitue aussi
une réhabilitation du discours de l’Algérie française… Lire
la suite Envoyez les signatures à :
musmadi@gmail.com ou mbouhamidi@yahoo.fr. يندد حزب العمال
الاشتراكي٬ بناء
الجدار الفولاذي
من طرف النظام
الموالي للولايات
المتحدة و الكيان
الصهيوني. إن هاذ الجدار
يذكرنا جدار أخر
حول أراضي الضفة
الغربية المحتلة
٬ فمن الواضح إنها
خطوة إضافية لتدعيم
الحصار على مليون
و نصف مليون من
الفلسطينيين
المسجونين في
ديارهم في اكبر
سجن ذو سماء مفتوح
٬ منذ أكثر من ثلاث
سنوات. 21 فيفري 2010 إقراء
المزيد Il y a quinze ans Nabila Djahnine était assassinée !
Présidente de
l’association féminine Tighri Ntmettouth de Tizi ouzou, Nabila Djahnine est
assassinée dans la matinée du 15 février 1995. Elle avait 29 ans. Elle est
issue d’une famille populaire de Bejaïa, qui lui a enseigné l’ouverture
d’esprit et l'a mise en contact avec le monde militant. Elle se radicalise
très vite quand la vague obscurantiste qui submerge le pays menace
d’emprisonner sa propre vie. Elle rejoint le PST vers la fin des années 80. Lire
la suite ضد الفساد
رفع السر البنكي
و مراقبة شعبية
! في حين أن
الحجار و
المؤسسة الوطنية
للصناعات
الالكترونية
ببلعباس
يناضلان من
اجل إنقاذ
وسيلة العمل٬ في حين أن
منطقة
الرويبة٬ و الأطباء٬
و المدرسون
يطالبون
بأجور لائقة٬
في حين أن
الشباب
يتمرد من اجل
وظيفة و ظروف
معيشية
كريمة٬ تقوم
السلطة بنشر
فسادها في
وضح النهار و
الفضائح في
تزايد. الجزائر
٬ 6 فيفري 2010 إقراء
المزيد levée du secret bancaire et contrôle populaire ! Alors qu’El Hadjar
et l’ENIE de Bel Abbes luttent pour sauver l’outil de travail, alors que la
zone de Rouiba, les médecins et les enseignants réclament des salaires
dignes, alors que les jeunes se révoltent pour un emploi et des conditions de
vie décentes, le pouvoir étale sa corruption au grand jour et les scandales
se multiplient. Alger, le 6 février 2010 Lire la suite نضال
عمال الشركة
الوطنية المركبات
الصناعية يبيّن
الطريق يساند
حزب العمال
الاشتراكي (PST) التعبئة
الهائلة
لعمال
الشركة
الوطنية للمركبات
الصناعية SNVI صوناكوم
سابقا لا بد
من فرض أجرة
لائقة و كريمة
. لابد من
رفض كل
محاولة
إعادة النظر
في نظام حمايتنا
الاجتماعية .إن حزب
العمال
الاشتراكي
يحي عمال
المنطقة
الصناعية
برويبة و
الرغاية
الذين
انضموا إلى
جانبهم. يندد حزب
العمال
الاشتراكي
بشدّة القمع
الشرس و محاولات
الترهيب و
التي ليس من
مقدورها
الإحباط من
عزيمة
العمال. القيادة
الوطنية
لحزب العمال
الاشتراكي الجزائر
في 09 جانفي 2010
إقراء
المزيد Le PST soutient la formidable mobilisation
des travailleurs de la SNVI ex Sonacome. Il faut exiger un salaire décent. Il
faut refuser la remise en cause de nos protections sociales. Le PST salue les
travailleurs de la zone de Rouiba et de Reghaïa qui se sont joints à eux. Le
PST dénonce la répression brutale et les tentatives d'intimidation qui ne
pourront pas briser la détermination des travailleurs... DN du PST. 09
janvier 2010. Lire la suite Déclaration de la Direction Nationale
du PST D’El Ançor Oran à
Diar Shems Alger, de Skikda à Tizi, les quartiers et les villages se
révoltent pour exiger une vie décente. Les jeunes demandent du travail, les
lycéens protestent. D’El Hadjar au port d’Alger, de Sonatro à l’EDIED Béjaia,
des cheminots aux enseignants, les grèves se suivent pour sauver l’emploi et
le pouvoir d’achat. Mais, à l’heure où les choix économiques font débat parmi
les classes dominantes, les masses populaires doivent s’organiser et
commencer à se construire en alternative. Lire la suite de la déclaration de la DN du PST. Alger,
le 30 octobre 2009. بيان
القيادة الوطنية
لحزب العمال
الاشتراكي من
العنصر
وهران إلى
ديار الشمس
الجزائر، من
سكيكدة إلى
تيزي وزو
ثارت الأحياء
و القرى
لتطالب
بحياة كريمة . الشباب
يطالب
بالعمل،الثانويون
يحتجون. من
الحجار إلى
ميناء
الجزائر، من
سوناطرو إلى
مؤسسة
التجهيزات
المكتبية (ايدياد) من عمال
السكك
الحديدية
إلى
المعلمين ،
تتواصل
الإضرابات
للدفاع عن
مناصب الشغل
و القدرة
الشرائية.وفي
الوقت الذي
يحتدم فيه
النقاش عند
الطبقات
المهيمنة
حول
الخيارات
الاقتصادية
، يجب على
الجماهير
الشعبية أن
تنتظم
لتنطلق في بنائها
كبديل. الجزائر
في 30 أكتوبر
2009 Que reste-t-il de la gauche en
Algérie ? Réponse du SG du PST quotidien El
Watan le 05 septembre 2009 La gauche organisée a reflué depuis les années
80, plus sévèrement en Algérie qu’ailleurs, mais malgré le discours
néocolonial dominant et malgré les illusions libérales massives, la société a
résisté plus qu’ailleurs et ne renonce pas aux valeurs égalitaires et le
poids du PST et des militants socialistes dans les batailles démocratiques
est sociales est disproportionné par rapport à son impact électoral ou
médiatique. Marche du PST à Béjaia 1er mai 2009
voir la vidéo 1er mai
2009 rebâtir le camp des travailleurs ! Au lendemain de la réélection sans gloire de
Bouteflika, les travailleurs, les jeunes et les masses populaires qui ont
déserté massivement les bureaux de vote retrouvent leurs priorités sociales.
Médecins, cheminots, dockers, des sidérurgistes de Mittal Arcelor El Hadjar à
ceux de la Chaussure Mac Soum à Akbou en passant par les chantiers de
l’autoroute de Todini Bouira et les enseignants vacataires, partout, les
travailleurs et les jeunes ont continué à crier leur colère sans prêter
attention au déluge d’affiches géantes et à l’envahissement des écrans de
l’ENTV par celui qui n’hésite plus à afficher l’argent des affairistes
milliardaires qui le soutiennent. A l’Est, à l’Ouest comme au Sud, les APC
ont continué à être assiégées par les jeunes qui ne croient pas aux trois
millions d’emplois promis alors que le pouvoir ne reconnait qu’un million de
chômeurs. Mais en l’absence d’un puissant parti
socialiste, au service des travailleurs et de la jeunesse, capable de
conduire une alternative politique au concert des partis libéraux et pour
organiser la résistance à la fraude, les travailleurs et les jeunes se sont
retrouvés atomisés et dispersés. Ils ont été contraints de subir dans
l’isolement les convocations obligatoires pour les meetings électoraux et les
invitations impératives à signer à blanc pour un candidat. Faut il
parler de ceux qui ont été réquisitionnés pour assister, impuissants, au
triplement de la participation électorale dans des bureaux de vote déserts ou
de ceux qui ont voté par peur pour leurs papiers administratifs. Chawki Salhi SG du
PST. Alger, le 30 avril 2009. Lire la suite. A propos des
résultats du 09 avril Bouteflika et ses partisans ont fait d’une
réélection quasi certaine, un non évènement total dont plus personne ne parle
48 heures après le vote. Après des années d’entrave à l’expression politique
des citoyens et des courants politiques, nul ne semblait pouvoir empêcher le
3éme mandat. Le camp Bouteflika s’est chargé lui-même, par ses excès de
discréditer un triomphe attendu, porté par une campagne pharaonique… Chawki Salhi SG du
PST. Alger, le 14 avril 2009. Lire la suite Abstention massive
le 09 avril Après
des années de fermeture politique progressive et d’entrave à l’expression
politique des citoyens, l’élection présidentielle était évidemment faussée
d’avance. Dans une société qui, trop souvent, ne s’exprime plus que par
l’émeute, on a criminalisé le mouvement social, le syndicalisme, la grève et
œuvré à discréditer l’action politique et associative. L’administration et
les médias publics se sont habitués à une expression unilatérale au service
du pouvoir en place qui veut abolir les conquêtes démocratiques d’octobre
1988. La dérive monarchique de nos institutions étouffe même les partisans
zélés du troisième mandat. SN du PST. 06 avril 2009 Cinq millions de signatures pour les libertés
populaires ! Pour une politique au service des besoins
des masses populaires et de la jeunesse ! Tant
de milliards et tant de désespoir ! Tant de châteaux et tant de
bidonvilles, tant de nouveaux riches et tant de nouveaux pauvres. Notre
jeunesse est privée d’avenir dans son propre pays. Les contrats temporaires,
au quart du SNMG, l’absence de logement pour vivre sa vie et ses rêves,
l’absence de loisirs, le poids du conservatisme. La scolarisation est
massive mais la clochardisation règne dans les cités universitaires et
l’échec massif brise combien de vie. Nos diplômés vont au Canada, en Europe
ou au Golfe, les autres aussi rêvent de fuite, de harga en Europe où
les attend la cueillette des tomates en Espagne ou le balayage des rues de France
quand ce n’est pas la chasse aux émigrés. On
consomme des biscuits turcs, du thon de Thailande, des vêtements chinois, des
camions coréens et nos usines ferment. Nos importations ont triplé en
quelques années. L’industrie produisait le sixième des richesses du pays en
2003 elle ne produit que le vingtième des richesses en 2007. Le FMI et la
banque mondiale sont contents. Pendant ce temps nos travailleurs perdent leur
emploi et les jeunes cherchent du travail. L’argent
du pétrole permet de construire un million de logements, mille kilomètres
d’autoroutes. On en profite pour fermer nos entreprises du bâtiment,
pour disperser nos compétences en matière de routes, de tunnels et de voies
ferrées. Les multinationales s’enrichissent et on importe des frères
travailleurs chinois ou pakistanais pour nous apprendre à travailler sans
réclamer nos droits. Notre
pain dépend de la farine du Canada et de France et notre lait vient d’Europe
et d’Australie, les prix des légumes flambent mais les paysans, les travailleurs
de la terre, sont dans la misère. La campagne algérienne se vide de sa
jeunesse à la recherche d’une vie décente en ville. On
a fait disparaitre le travail décent au profit d’une généralisation des
emplois précaires et du travail au noir sans sécurité sociale, sans droit à
la retraite, sans droit au congé. On nous promet d’autres lois plus dures
encore. Partout dans le monde les possédants capitalistes veulent des
travailleurs moins chers et sans droits. Les
Algériennes sont nombreuses parmi les diplômés, nos sœurs, nos mères nos
filles sont de plus en plus nombreuses à chercher un travail. Mais le congé
de maternité et le droit au respect se perdent quand il n’y a plus que des
contrats temporaires. Et surtout le poids des traditions et certaines lois et
certaines pratiques ne reconnaissent pas aux femmes leur statut d’être
humain. Toute notre jeunesse rêve d’aller ailleurs où les hommes et les
femmes semblent vivre ensemble dans la dignité. Le
peuple est privé des libertés élémentaires. La politique libérale qui
s’attaque aux droits des travailleurs et organise l’appropriation privée des
biens collectifs a besoin de nous faire taire. On ne donne pas d’agrément à
nos associations, on réprime les grèves des travailleurs et les protestations
de nos jeunes, on traine dans les tribunaux les syndicalistes et les jeunes
révoltés, on condamne les haragas alors que la liberté de circuler à travers
le monde est un droit humain reconnu pour d’autres peuples. Il
faut une autre politique au service du développement national et des besoins
sociaux du peuple. Il
faut une autre politique qui respecte les libertés populaires. Il
faut une autre politique qui offre une vie décente aux travailleurs et aux
travailleuses de la ville et de la campagne. Il
faut une autre politique qui fasse une place aux jeunes et leur redonne
espoir car ils sont l’avenir. Le
changement est possible organisons nous pour l’imposer ! -
A
propos des commissions de surveillance Le PST a annoncé le 02 février, sa non
participation aux élections présidentielles. Dans la même conférence de
presse, notre parti a appelé à une convergence démocratique autour de
revendications minimales pour rétablir la liberté d’expression,
d’organisation syndicale et politique et de grève, celui de fonder un journal
et d’accéder aux médias publics. Ces conditions minimales font partie des
préalables à une confrontation électorale équitable. Par ailleurs, le PST a
annoncé une campagne nationale pour dire non à la dérive monarchiste
autoritaire, pour dire non à la politique libérale anti-sociale au service de
l’impérialisme. Nous avons reçu une correspondance de la
présidence nous invitant à une commission de surveillance des élections. Notre dénonciation du caractère déloyal de
la confrontation présidentielle est publique. Le PST ne désertera aucune
occasion de l’exprimer et nous la dirons dans tous les cadres qui nous serons
offerts et dans tous ceux que les mobilisations populaires pourront
construire. Nous participerons à cette commission sur une pratique de
rupture, loin d’être une caution, cette participation sera une occasion de
dénoncer la fraude et la déloyauté de ces élections. DN du PST. 26 février
2009 -
Appel
pour une convergence démocratique Les élections présidentielles du 09 avril
2009 surviennent après des années de fermeture et de limitation des droits
politiques fondamentaux des citoyens et des partis. Avant même le démarrage
de la campagne officielle, la confrontation politique entre les candidats
apparaît inéquitable. La mobilisation de l’administration au profit de la
campagne du candidat sortant et le monopole en sa faveur dans les médias
publics et notamment la télévision discrédite totalement l’échéance du 09
avril 2009 qui apparaît au peuple algérien comme un fait accompli. Aucune élection ne saurait être légitime
sans l’établissement des conditions démocratiques minimales qui permettraient
une compétition électorale loyale. Car sans débat démocratique libre, sans
une période de confrontation ouverte et équitable dans la société qui
permette au citoyen de comprendre et de choisir, il ne saurait y avoir
d’élection libre et reconnue légitime par le peuple. Le PST propose à tous ceux qui s’opposent à
ce coup de force antidémocratique une convergence de nos dénonciations autour
de revendications précises et concrètes. Il s’agit de lever toutes les
entraves actuelles à la liberté de créer une association, un parti, un
journal ou un syndicat. Il s’agit de lever toutes les limitations à
l’expression des citoyen(ne)s et des courants politiques par un accès
équitable aux médias publics, par la levée de l’interdiction des marches dans
la capitale et par la cessation du harcèlement judiciaire des syndicalistes
et des grévistes. Sans ces libertés pour les citoyens et les courants politiques,
aucune élection ne saurait avoir de légitimité démocratique. SN du PST. 5
février 2009 -
Nous appelons au changement des règles du jeu politique Chawki Salhi
Algérie News du 4 février 2009 Vous venez d'appeler à une union avec
l'opposition. Dans quel camp vous situez-vous? Nous sommes dans le camp qui s'oppose à la
répression des jeunes, des travailleurs et à la remise en cause des libertés
conquises en octobre 88, le camp qui rejette la dérive monarchique de nos
institutions. Despotique parce que libéral, le pouvoir a développé la
dépendance économique malgré des ressources financières immenses. L'industrie
est liquidée, les EPE du bâtiment ont fermé, les importations ont triplé et
les contrats sont distribués aux entreprises étrangères. Le travail au noir
et la précarité se généralisent et l'on s'étonne du désespoir massif des
jeunes. Bouteflika fait des assauts d'éloquence autocritiques et au lieu de
démissionner, il nous demande un 3ème mandat pour rectifier les graves
erreurs commises pendant le 2ème.. Le PST a rendu publique dimanche sa
décision de ne pas participer aux prochaines présidentielles. Quels sont les
arguments de votre décision ? La confrontation électorale est déloyale,
le rouleau compresseur de la propagande officielle unilatérale s'est
déclenché en 2005. Des milliards investis de façon irrationnelle, un recours
systématique aux entreprises étrangères détruisant les capacités nationales
avec un objectif : tenir l'échéance électorale de 2009. Nous avons examiné la
possibilité de transformer le désintérêt massif des Algériens en boycott et
aussi celle d'une candidature pour dire notre combat démocratique et
antilibéral. Et qu’avez-vous à répondre au Premier
ministre Ahmed Ouyahia qui déclarait récemment que personne n'a été empêché
de se porter candidat ? Révision constitutionnelle Non à un troisième
mandat libéral et répressif ! L’annonce de Bouteflika, à cinq mois des
présidentielles, d’une révision constitutionnelle imminente, demeure trop
vague. Elle appelle néanmoins des remarques de principe sur un plan
démocratique. Lire la déclaration du SN du PST en date du 29 10 2008 Autocritique de
Bouteflika Un 3ème mandat pour
réparer les erreurs commises durant le 2ème Depuis son discours aux chefs de l'armée en
juin 2006, Bouteflika multiplie les critiques sentencieuses à la politique de
suicide économique qu'il inflige, lui même, à l'Algérie depuis des années.
Mais après l'amendement apporté à sa loi sur les hydrocarbures qui demeure
une menace grave pour l'économie nationale, nous n'avons eu droit qu'à des
déclarations d'intention. Et le pillage a continué. A quelques mois de
l'élection présidentielle, le ton se fait plus ferme lors de l'autocritique
de juillet 2008, une partie du secteur public se voit épargnée par la
liquidation et des mesures de containment de l'investissement étranger sont
prises. Que faut il en penser ? Lire la suite Halte au massacre
des Palestiniens ! Respect de leurs
droits nationaux légitimes ! Les raids
meurtriers de l'aviation sioniste sur Ghaza, le spectacle odieux de ces
centaines de morts, de ces milliers de vies meurtries et de ces destructions s'étale
sur nos écrans. Le soutien agressif des USA, le positionnement pro israélien
de l'UE et de l'ONU, les flots de propagande occidentale viennent démontrer,
encore une fois, l'inhumanité de l'ordre impérialiste dominant et démentir
ses prétentions démocratiques. Lire la déclaration en date du 01 01
2009. 20 ans après le 5 octobre 88 Que reste t-il de nos acquis démocratiques et de nos aspirations sociales ? Il y a 20 ans exactement, le 5 octobre
1988, un mouvement national de protestation populaire ébranlait la dictature,
forçait l'ouverture politique et imposait des acquis démocratiques
aujourd'hui menacés. … SN du PST Alger, le 05 10 2008 Entre patriotisme économique et politique libérale Impasse du libéralisme algérien ! C’est une rentrée sociale
« patriotique » du moins dans son volet économique que nous livre
le chef de l’Etat et son équipe gouvernementale. Le même gouvernement qui,
rappelons-le, ne jurait que par la religion libérale et même ultra libérale
depuis le règne de son chef suprême Bouteflika. C’est d’abord ce dernier qui
annonce l’amorce d’un changement dans son discours prononcé lors de sa
rencontre d’été avec les maires en reconnaissant « s’être
trompé » en matière de stratégie économique. Lire
la suite Une délégation du
PST à l'université d'été de la LCR Les camarades Chawki Salhi et Nadir Djermoune
du SN du PST ont participé à la dernière université d'été de la LCR qui s'est
conclue par une journée consacrée aux ateliers sur le programme du Nouveau
Parti Anticapitaliste NPA. 1500 participants ont animé une centaine
d'activités Lire la suite Un passage de la conférence dans
cette vidéo de la LCR L'université d'été une école de formation Voir la vidéo de l’université d’été
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Rendez vous Actions Une autre politique est possible ! Meeting du PST à Alger 30 avril 2011 à 14h Salle Sierra Maestra
Rue Ferhat Boussad (ex Meissonnier) Débat sur la situation en Egypte Egypte
où va la révolution ? avec
Yassin Temlali revenu du Caire. samedi
2 avril · 14:00 - 17:00 Au
siège du PST. 27 Boulevard Zirout Youcef, Alger. Motion adoptée par la DN du 25 02
2011 La
DN rappelle son appel du 14 janvier à la participation à toutes les actions
qui vont dans le sens de l’unité la plus large pour les libertés
démocratiques, le droit de manifester, de s’organiser, le droit à toute
personne, association, collectif ou organisation d’exprimer librement son opinion… Mais si notre combat social et
démocratique, porteur des aspirations des jeunes et des travailleurs, ne doit
pas renforcer les campagnes hostiles au protectionnisme des courants
ultralibéraux des classes possédantes, il ne doit pas non plus servir à
cacher le caractère despotique et antisocial du régime que dirige Bouteflika.
Notre combat contre le libéralisme va de pair avec notre combat contre
l’autoritarisme de Bouteflika pour imposer son libéralisme patriotique. La ligne de clivage du moment n’est pas d’ordre
strictement économique, elle est aussi d’ordre politique. Elle est entre les
exigences populaires pour une démocratie sociale et une dignité politique et
une dictature libérale bureaucratique qui privatisait hier et qui avance avec
un « patriotisme économique» conjoncturel timide et inconséquent qui
cache mal la corruption, le pillage capitaliste et l’arbitraire politique. A propos de la marche du 12 février La presse a rapporté l’implication du PST
dans la rencontre du 28 janvier. Il est exact que le PST était présent pour
rappeler les luttes des travailleurs et des jeunes contre la précarité que
généralise le libéralisme. Les jeunes présents, étudiants et chômeurs, ont,
tous, abondé dans ce sens revendiquant, par exemple, une indemnité de chômage
à 50% du SNMG. Notre représentant appelait à une
mobilisation pour une alternative démocratique et anti libérale. Cela
n’apparait pas l’objectif de cette coalition. La coordination a refusé d’intégrer à sa
plate forme les revendications sociales des masses ne proposant que des
libertés formelles abstraites. Ce refus insistant interpelle le PST qui ne se
voit pas en supplétif d’un pôle démocratique libéral à l’opposé des
aspirations populaires. Par ailleurs, la surenchère verbale et le
radicalisme sans contenu ne nous semblent pas compatibles avec les rapports
de forces réels et les tâches qui s’imposent à ceux qui veulent vraiment un
changement radical. En l’état actuel, les instances du PST
n’ont pas signé la plate forme de la coordination et le PST ne s’est donc pas
associé à la marche du 12 février. Nous restons toutefois à l’écoute et
garderons le contact avec tous les acteurs du combat démocratique et
social. SN du PST. Alger, le 01 02 2011 Communiqué Le PST encourage toutes les initiatives,
toutes les actions de protestation démocratique et sociale. La question des jeunes emprisonnés demeure
un point urgent. Le PST espère l’unité la plus large pour toutes les
questions démocratiques : - libération des
détenus, - levée de l’état
d’urgence - Rétablissement de la
liberté d’expression - Respect de la
liberté d’organisation politique, syndicale, associative. - Levée des entraves à
la liberté de manifestation et de grève. Bien sûr, les aspirations populaires ne
sauraient être réduites à la seule dimension des libertés formelles, alors
que la question sociale, celle de l’emploi, du logement et de la vie chère,
est au cœur de la révolte et qu’elle est de nouveau mise en avant par les
jeunes désespérés qui tentent de s’immoler Des actions sont nécessaires pour
conjuguer la dimension démocratique et la question sociale SN du PST. Alger, le
18 janvier 2011 BADAOUI a été
libéré ! Badaoui a été libéré lundi à 17h mais il
est sous contrôle judiciaire. Curieux une mise en liberté provisoire quand on
est accusé de »complot pour renverser les autorités ». Halte aux
intimidations ! halte à la persécution de Badaoui ! Libérez
Badaoui ! Nous avons appris l'arrestation du
syndicaliste Ahmed Badaoui, hier samedi, après la tenue de la rencontre
organisée par le comité pour les libertés syndicales qu'il anime. Les
militants et les syndicalistes présents à la rencontre du CLS n'ont pourtant aucun
lien avec les barons de l'agroalimentaire, ils ne portent aucune
responsabilité dans les spéculations. Nous pensions agir pour faire cesser les
persécutions dont fait l'objet Badaoui, privé de son emploi et de son
passeport depuis plus de cinq ans. Et voilà qu'il faut le défendre contre des
accusations aussi graves que ridicules. Ceux qui croient intimider les travailleurs
et la jeunesse qui continuent de bouillonner se trompent. Nous lançons un appel à tous pour se mobiliser
afin d'exiger la libération immédiate de Badaoui. Alger le 16 janvier
2011. Pour le PST. Chawki Salhi Rencontre au siège du PST Sur la situation actuelle Le
PST appelle tous ceux qui se sentent concernés par la révolte de notre
jeunesse syndicalistes, travailleurs étudiants militants socialistes à une
rencontre de concertation au local du PST demain samedi 8 janvier à 14h.
Faites circuler l’info.. A lire d’autres textes sur MARCHE du 1er
Mai 2010 à Béjaia. Rassemblement
Maison de la Culture Béjaia à 11h. Animé par Chawki
Salhi porte parole du PST et d’autres membres
de la direction il sera suivi d’une
marche vers la wilaya. Causerie sur Camus Notre ami et camarade Mohamed Bouhamidi a
animé, ce samedi 17 avril, un débat très intéressant sur Albert Camus, sa
pensée coloniale et son combat aux antipodes des aspirations du peuple à la
dignité humaine. Il a notamment évoqué la campagne contre le discours de
glorification du colonialisme porté par la caravane Camus. En Nidhal du mois
de mars 2010 est paru. Plus riche, mieux présenté, le 2ème
numero du bulletin des militants du PST de la Ville d’Alger est paru. Demandez le à nos militants. Vous pouvez aussi le
découvrir sur le blog de la ville : http://annidal21.unblog.fr Hommage à Daniel
Bensaid Le café littéraire l’ile lettrée ,
7 rue Ahmed Zabana (à proximité de Radio El-Bahdja et du lycée Omar-Racim )
organise, jeudi 25 mars 2010 de 15h à 17h, un débat sur la vie et l’œuvre de
notre camarade Daniel Bensaid. Soyons nombreux ! Débat sur la
corruption au siège du parti La marche triomphale du libéralisme finit
en scandales, les guerres de successions au sommet laissent échapper des
morceaux de vérité, Samedi 13 fevrier à 14H au siège du PST 27 Boulevard
Zirout Youcef nous débattrons de la corruption de notre point de vue de
socialistes. Analyse et solutions. En Nidhal est paru Le bulletin des militants du PST de la ville
d’Alger du mois de janvier est paru. Voir le blog
http://annidal21.unblog.fr Hommage à Daniel
Bensaid à Paris Notre camarade Daniel Bensaid nous a
quittés ce mardi 12 janvier. Un hommage militant international sera organisé
par ses camarades du NPA le dimanche 24 janvier de 14h 30 à 18h à la salle de
la Mutualité à Paris. Le PST s’y associera. Commémoration de la
mort de Redouane Osmane A l’occasion du 2ème
anniversaire de la disparition de notre irremplaçable camarade et ami
Redouane, le CLA a appelé à un recueillement le 18 décembre au cimetière d’El
Kettar. La famille de Redouane, ses compagnons du CLA et du PST étaient
entourés de représentants de syndicats autonomes ou de partis démocratiques
et de quelques amis comme M° Zahouane de la LADDH Meetings du PST dans la wilaya de
Béjaïa Deux conférences débat du PST ont été
organisées le 12 décembre 2010 à Aokas et Barbacha pour présenter la
situation politique et appeler à la mobilisation. Les deux rencontres ont été
animées par le SG du PST. Soutien aux luttes sociales Le samedi 05 décembre, au lendemain de la
tripartite, un débat public au siège du parti rassemble des travailleurs et
des jeunes pour marquer la solidarité avec les grèves en cours et avec les
explosions populaires incessantes. Le débat a abordé les différentes menaces
contenues dans les thèmes évoqués par la tripartite : retraites,
allocations, médecine gratuite… Rentrée politique et commémoration Le samedi 31 octobre de 10h à 17h le siège
national du PST était trop étroit pour accueillir les participants à la
rencontre organisée pour marquer la rentrée politique. Cette rencontre a permis de parler de la
précarité et des luttes sociales, mais elle a été aussi l’occasion d’exprimer
notre position de socialistes sur le tournant économique engagé par le
pouvoir. Au contraire de la critique bruyante du lobby des importateurs le
PST estime que les mesures prises sont insuffisantes contradictoires et
inconséquentes et qu’il est illusoire de penser résister efficacement au
diktat impérialiste sans l’action des masses populaires. A la veille du 1er Novembre, cette journée
s’est poursuivie par la commémoration du 35ème anniversaire de
notre congrès de fondation à Cap Sigli durant l’été 94. Il s’agit aussi du 20ème
anniversaire de la proclamation du PST lors de nôtre 9ème congrès
tenu à Rouiba en juin 89. Après l’évocation de cette longue histoire
militante, la journée s’est achevée sur des chants révolutionnaires et par la
promesse d’autres initiatives de débat y compris d’autres occasions de faire
connaître l’histoire de notre parti. Camp de jeunes du PST Du 10 au 17 juillet, sur une plage de
Béjaia, prés d’une centaine de militants et sympathisants ont participé au traditionnel
camp d’été jeunes du parti qui s’est tenu cette année « les pieds dans
l’eau » dans un camp de toile. Les débats biquotidiens ont porté sur la
situation politique et les luttes des masses abordant les questions de la
jeunesse et celle des droits des femmes, la nécessité du parti, les réformes
de l’école et de l’université, la situation au Moyen Orient, et d’autres
questions. A l’année prochaine ! 1er mai
2009 Marche et meeting à
Béjaia C’est jeudi 30 avril dans l’après midi que
la PST a organisé la désormais traditionnelle marche du 1er mai.
Plusieurs centaines de personnes ont marché de la Maison de la Culture au
siège de la Wilaya devant lequel un meeting a été tenu. A noter la
participation des nombreux syndicalistes oppositionnels de l’UGTA qui
venaient de tenir leur réunion. 1er Mai :
Rencontre au siège du PST à Alger Le local du PST était très animé, ce jeudi
après midi, pour la rencontre du 1er mai. Plusieurs générations
militantes s’étaient donnés rendez vous pour fêter l’évènement. Après
l’allocution de bienvenue au nom de la direction du parti et une analyse de
la situation, un échange de points de vue a eu lieu. Le débat s’est poursuivi
fort tard autour d’une collation. Cinq millions de
signatures pour les libertés populaires ! Pour une politique au service des
besoins des masses populaires et de la jeunesse ! Envoyez vos
signatures à pst_dz@yahoo.fr Table ronde Le PST débat sur
les présidentielles avec Hocine
Zahouane et des invités. Jeudi 19 février
2009 à 14h30 Au siège du PST 27, Boulevard
Zirout Youcef, Alger. Halte au massacre
des Palestiniens ! Respect de leurs
droits nationaux légitimes ! A l'appel du PST Manifestation à Béjaia mercredi 7
janvier 2009 Départ à 10h devant la Maison de la
Culture. Coordination
Palestine Des syndicalistes du CLA, du CNES, du Port
d'Alger (UGTA), l'association estudiantine Nedjma, la LADDH soutenus par le
PST entre autres militants et associations ont constitué une Coordination algérienne des initiatives
pour la solidarité avec la résistance palestinienne (CAISRP). Point de contact : 05, rue Saïd Ben
Larbi -Alger centre- Tel & fax : (+213) 21 73 95
20 E-mail : laddh_ligue@hotmail.com Lire la plate forme de la
coordination *Non au massacre du peuple
palestinien* *Pour un Etat palestinien
maintenant* Rassemblement de
Soutien au peuple palestinien Dimanche
04 janvier 2009 à 11h00 à
la faculté de Bouzaréah. A
l'appel de l'association Nedjma Plusieurs
centaines d'étudiants se pressent au rassemblement de Nedjma pour écouter les
orateurs. Un comité Palestine est constitué aprés le meeting ensuite un
cortège de deux mille étudiants parvient à Chevalley. Et la mobilisation
continue ! Non à la
privatisation des ports Solidarité avec les
syndicalistes assignés en justice Les animateurs de la coordination des ports
sont convoqués au tribunal samedi 22 novembre à 09 heures du matin, chacun
dans sa wilaya. Pendant ce temps, la désinformation commence : le journal
télévisé annonce l'annulation de la grève des 24 et 25. Pour notre part, nous
attendrons la décision des intéressés les travailleurs des dix ports et leur
coordination. A eux de décider du rythme de leur combat légitime contre la
privatisation des ports d'Alger et Djendjen. En attendant, nous serons avec eux, demain samedi,
au tribunal. Attention, pour Alger, ça se passe au nouveau palais de justice
du Ruisseau. Séminaire national
les 30 et 31 octobre 2008 Ils sont venus de quinze wilayas, de
Souk Ahras à Tlemcen, de Tiaret à Mila, De Sétif à Oran, Béjaia... pour
certains épuisés par les dizaines d'heures de trajet et d'attente. Une
assemblée jeune en majorité, composée de socialistes, de syndicalistes,
d'animateurs de mouvements sociaux, de militants de terrain. Le débat portait
dés jeudi sur l'actualité politique pour dire notre position sur la révision
constitutionnelle qui entend ratifier la monarchisation des institutions. Ce
fut l'occasion d'un débat sur la nature de l'Etat et le fonctionnement du
pouvoir. Ensuite un hommage est rendu à notre camarade Amzal Kamel assassiné
il y a 26 ans par une horde intégriste. Vendredi, le débat porte sur la crise
actuelle du capitalisme mondial et le désaveu des théories néo-libérales.
Ensuite la politique libérale en Algérie est examinée à travers ses
différentes étapes. Pillage d'El Hadjar imprévoyance en matière d'énergie,
politique suicidaire de la loi sur les hydrocarbure, dépendance alimentaire
aggravée.. des exemples concrets sont cités de cette
destruction systématique qui aggrave la dépendance du pays à l'heure d'une
grave crise mondiale. Il y a 20 ans le 5
octobre 88 Analyses,
témoignages, débat Jeudi 09 octobre
2008 à 14h au siège du parti PST, 27 Boulevard Zirout Youcef,
Alger Soirées
Ramadhanesques Crise du leadership
impérialiste US et résistances en
Amérique Latine Jeudi 25 septembre
2008 à 21h au siège du parti PST, 27 Boulevard Zirout Youcef,
Alger Le virage
économique de Bouteflika sens et limite Jeudi 18 septembre
2008 à 21h au siège du parti PST, 27 Boulevard Zirout Youcef,
Alger A l'initiative de militants des comités pour un nouveau parti anticapitaliste : Conférence du PST à Marseille
L'Algérie nous concerne. Elle est dans les
appétits méditerranéens des puissances d'Europe, Elle est parmi nous à travers
les millions de travailleurs et de jeunes liés à l'Algérie ou au
Maghreb. Pour mieux comprendre l'émigration, pour éclairer notre combat
contre les délocalisations et contre la précarisation qui se généralise,
pour bâtir la solidarité nécessaire au des luttes des sans papiers et
contre la forteresse Europe nous proposons une rencontre avec ceux qui, en
Algérie même, luttent, comme nous, contre la mondialisation
libérale qui oeuvre à démanteler les acquis sociaux d'un siècle de lutte du
mouvement ouvrier et à reprendre les positions coloniales perdues. Pour parler de l'offensive libérale en
Algérie et des résistances populaires, pour discuter de la crise politique et
de l'islamisme, pour connaître les luttes syndicales nombreuses et
les révoltes sporadiques des quartiers et des villages, pour essayer de
comprendre le désespoir des jeunes qui fuient sur des petits canots vers le
mirage européen. Venez débattre avec nous ! Conférence débat avec
Chawki Salhi de la direction du PST d'Algérie Mercredi 03 septembre 2008 à
20h30 Lectures LE CARNAGE DE GAZA De Jerusalem notre
camarade Michel Warschawski vieux routier de l'antisionisme démonte
méthodiquement la propagande israélienne et occidentale Encore une contribution pour le
forum du site Crise
capitaliste dans le monde et en Algérie Une
chance à saisir Cheikh
Hocine _____ D'autres textes et contributions
Hocine Guernane, Boualem Chouali, Saddek Akrour Krimo, Fateh, Djamel ... sur Forum
et lectures A lire ce texte de Djamel Benmerad trouvé
sur internet La version soft du capitalisme Le MDS vient d'ajouter la
"particule" laïc à son sigle. La montagne qui accouche d'une souris
! Est-ce ainsi qu'il entend répondre aux efforts surhumains des communistes algériens
et à l'attente sociale des citoyens qui s'appauvrissent à mesure de
l'augmentation de nos réserves de change ? _____ La NAKBA Le nettoyage
ethnique de la Palestine Sur les étals des bonnes librairies
d'Algérie, on trouve depuis quelques semaines, le livre document de Ilan Pappe sur Le nettoyage ethnique de la Palestine.
Cet historien israelien démonte par une enquête minutieuse les mécanismes du
crime contre l'humanité commis en 1948 contre le peuple palestinien. |
Dernière mise à
jour 30/ 03/ 2011 |
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Expression poétique empruntée tirée d’un texte d‘Inprecor.