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[OK]Nous sommes tous des terroristes ! écrit le 07/07/08

On respire en France un air vicié. Plus que jamais la réalité donne raison aux discours sur la « fascisation de la société » et « l’état d’exception permanent ». La traque des pauvres et des migrants s’intensifie comme on peut le constater à Grenoble où les associations et collectifs de soutien aux sans-papiers croulent sous les sollicitations. Et depuis quelques mois, la criminalisation des migrant.e.s a rejoint la criminalisation des contestataires.

Militer contre le capitalisme, lutter contre les prisons ou défendre les sans-papiers fait de vous… un « terroriste » en puissance. Progressivement, l’insoumission et la solidarité sont devenues des « délits » pour finir par relever du « terrorisme ». La Chancellerie vient tout juste d'adresser une note aux magistrats, les sommant de signaler à la section anti-terroriste du Parquet de Paris le moindre tag ou rassemblement de soutien aux sans-papiers (lire le communiqué du syndicat de la magistrature). Un outil fort utile encourage cette dérive vicieuse : la "mouvance anarcho-autonome", catégorie policière aux contours flous qui sert à réactiver le spectre du terrorisme d’ultra-gauche (lire une réflexion sur l’outil anti-terroriste).

L’Etat parano qui voit des terroristes et des bébés Brigades Rouges partout restructure ses services de renseignement pour accentuer la pression sur les acteurs du mouvement social. Même RESF (Réseau Education Sans Frontière) s'est vu infliger l'étiquette de "quasi-terroriste" (lire la réaction de RESF aux accusations de l'UMP). Il est donc nul besoin de réelle menace pour que la répression s’abatte sans distinction. De son côté, la presse entretient ce climat de peur irrationnelle en décrivant une prétendue nébuleuse anarchiste qui se préparerait à la lutte armée (lire le dossier de presse: ici et ).

Deux « affaires » qui remontent à janvier dernier ont beaucoup fait parler. Tout d'abord, l’arrestation d’Ivan et Bruno en marge d’une manifestation de soutien aux sans-papiers devant le Centre de rétention (CRA) de Vincennes parce qu’ils avaient sur eux de quoi fabriquer des fumigènes artisanaux. Quelques jours après, deux autres personnes sont arrêtées par les douanes à Vierzon parce qu’on les soupçonne de fomenter une action contre une prison pour mineurs. Ces deux affaires sont instruites par des magistrats anti-terroristes, ce qui signifie plus de moyens et plus de pressions sur les inculpés. Pendant des mois, les actions de protestation contre l’enfermement de ces militant.e.s se succèdent. Si Isa et Juan sont encore enfermé.e.s et éloigné.e.s de leurs proches, Ivan, Bruno et Farid ont, quant à eux, été libérés et l’accusation semble se dégonfler (lire la lettre de Farid).

Malgré la répression, les actions de solidarité avec les prisonnier.e.s et contre l'enfermement continuent ici et ailleurs. Dernièrement, une semaine d’actions directes a été organisée. Le musée de la résistance de Grenoble a été occupé. Lire les récits des actions menées à Grenoble et à Lyon.

Le 22 juin, le CRA (Centre de rétention administrative) de Vincennes, symbole (selon la Cimade) de "l’industrialisation de la rétention " est parti en fumée après qu'une révolte ait été une nouvelle fois déclenchée à l'intérieur (écouter un son pris devant le CRA).

A Paris, mercredi 2 juillet, des militant.e.s sont allé.e.s gueuler leur soutien aux taulards de Fresnes.

A Lille, des militant.e.s sont allé.e.s accrocher une banderole sur les grilles du CRA de Lecquin (voir la vidéo).

Et ce n'est pas fini...



[OK]Le printemps lycéen 2008 écrit le 07/07/08

Le mouvement lycéen grenoblois n'est pas absent des médias locaux dominants. Quel traitement médiatique réservent-ils au combat lycéen ? Ici, une analyse du traitement par le Dauphiné Libéré du mouvement lycéen, qui révèle une nouvelle fois la connivence entre les journalistes, le pouvoir politique et son bras armé, la police.



Jeudi 29 mai, une manifestation rassemble entre 200 et 300 personnes. Le climat est plutôt tendu et des policiers en civil procèdent à des arrestations ciblées (ici et ).
En fin de journée une centaine de personnes ouvrent la "Maison du lycéen". C'est un lieu de vie, de rencontres... et de révision du bac !

Mardi 27 mai, jour de pluie, les blocages tiennent difficilement, une déléguation de lycéen-n-es reçue au rectorat suite à la manif, mais sans grand impact. un court récit de la journée, ici.

Samedi 24 mai, petite manifestation sous le soleil et dans la bonne humeur. Une banderole est accrochée sur le parvis de la préfecture. En fin de manifestation quelques accrochages ont lieu avec une bande de jeunes d'extrême-droite.

Jeudi 22 mai, forte journée de mobilisation pour la défense des retraites et contre les suppressions de postes dans l’éducation nationale. Plus important que le jeudi précédent (30 000 personnes selon les organisateurs), le cortège se scinde en deux place Auguste Rivet. Las de l’ambiance traîne-savate, les lycéen.ne.s décident d’abandonner le parcours officiel et de bifurquer en direction de Verdun où les attendent les gendarmes mobiles.
La place se remplit, fumigènes, bonne-humeur et projectiles. Les forces de l’ordre arrosent alors de gaz lacrymogène. Commence un mouvement de flux et de reflux des manifestants. Un ouvrier est blessé par une grenade tirée par la police.
Peu après midi, un cortège se reforme et une manifestation sauvage part en direction de Felix Poulat. Les gendarmes mobiles font barrage devant la Fnac et des barricades se lèvent. Une nouvelle fois, les gaz recouvrent le centre ville et les gros bras de la BAC jouent du flash ball. (lire les récits de la journée : 1/2/3). Voir des photos et une vidéo.
On dénombre une dizaine d’arrestations. Des personnes « ciblées » sont arrêtées, frappées et menacées par les flics de la BAC. Après plus de 24h de garde-à-vue et un passage devant le juge en comparution immédiate, une personne est condamnée pour « outrage et rébellion » à payer 1800 €. La solidarité s’organise avec les victimes de la répression et un appel à don est lancé. Pour contacter l’Anti-rep : antirepgre@no-log.org ou 06 25 98 70 14.

Mardi 20 mai. Les lycéen.ne.s sont encore dans la rue. Ici, un récit de la manifestation sauvage.


Jeudi 15 mai, journée chargée en gaz lacrymo. Le matin, blocage des lycées, suivi d'une manif lycéenne qui rassemble 3000 lycéen-ne-s. Dans l'après-midi, la manif de la fonction publique, à laquelle se sont joint-e-s les lycéen-nes, rassemble plus de 10 000 personnes. Récits : ici et . Des vidéos : ici et .

Dans l'après midi, une lycéenne a été blessée par une grenade de désencerclement lancée depuis un véhicule de police. Un appel à témoignage a été lancé.

Mardi 13 mai, 1000 lycéen.ne.s ont encore manifesté leur colère dans les rues grenobloises. Le cortège a rejoint la place de Verdun qui fait l'angle avec le tribunal administratif où un rassemblement de soutien à Bruno et Ivan se tenait (photos). Des affrontements ont eu lieu avec les flics sur la place et dans les rues adjacentes. Au moins 4 personnes ont été arrêtées. Un récit de cette matinée et des photos.

Le 6 mai, de nouveau, plus d'un millier de lycéen.ne.s ont défilé dans les rues de Grenoble. Ici, un récit du déroulement de la manif et des affrontements avec la police qui ont suivi. Une manifestation a également eu lieu le 7 mai : récit.

Le 2 mai, le lycée Marie Curie a été débloqué par la police : récit et lettre ouverte à la proviseure.

Plus d'un millier de lycéen.ne.s ont défilé dans les rues de Grenoble mardi 29 avril. Au rectorat, la police a, comme à son habitude, dispersé les manifestants à coup de lacrymo. Trois personnes ont été arrêtées. Un cortège de 250 personnes est reparti en manif sauvage. Des récits de la journée ici et . Voir des photos.

Les lycéen-ne-s s’organisent pour défier le gouvernement et son ministre de l'éducation nationale. Depuis le début du mouvement, Grenoble fait partie des villes les plus mobilisées. Des blocages de lycées ont eu lieu fin mars dans l'agglomération. Depuis début avril les blocages et manifestations s'enchaînent (1er, 2, 3 , 4 ).

De source officielle, 6500 lycéen-ne-s étaient dans la rue jeudi 10 avril (1|2|3). Rassemblés, en fin de manif, devant un rectorat sous haute surveillance, les lycéen-ne-s ont essuyé des tirs de grenade lacrymogène.

Si la contestation porte d'abord sur la réforme Darcos qui prévoit la suppression de postes de professeurs à la rentrée prochaine, des revendications plus larges se font entendre dans les cortèges. L'école semble devenir en effet "à la fois le lieu central et le prétexte d'une colère qui va bien au delà des revendications sur les suppressions de postes"

Quelques textes de réflexion :
- "Vers une grève féconde et générale"
- "Modestes réflexions d'un lycéen sur le mouvement en cours."
- "Education on t'aime, et on veut te garder.En finir avec la défense inconditionnelle de l’école publique."
- "La Police te réprime sur tes blocages, le S.O te flique dans les manifs !"
A lire, le guide juridique du militant pour les prochaines manifestations.
Un texte qui fait du bien.


Pour suivre le mouvement dans d'autres villes : Chambéry (1|2), Vizille (1|2), Paris.

[OK]Désarmons la police ! écrit le 07/07/08

Alors que partout en France gronde la colère (fonctionnaires, marins-pêcheurs, routiers, paysans, lycéens...), comme à son habitude, le pouvoir recourt à la police pour régler les problèmes sociaux et criminaliser les contestataires. Les lycéen.ne.s qui ont entamé, depuis plus de deux mois, un véritable bras de fer avec le gouvernement ont fait les frais de cette politique répressive. A Grenoble, au moindre pas hors des sentiers battus de la traditionnelle promenade derrière une banderole, la police n'hésite pas à transformer le centre ville en véritable champ de bataille.

Ce mois de mai a été particulièrement répressif : arrosage de gaz lacrymogène, concerts de flash ball, arrestations ciblées et « musclées »... Des personnes, souvent mineures, ont été touchées par des tirs de flash ball (y compris dans les parties vitales), d'autres ont été frappées et menacées par les flics de la BAC (avec leurs armes de service), et une lycéenne a été sérieusement blessée à la jambe par un éclat de « grenade de désencerclement ». Comme dans les quartiers populaires, les flics ont donc pris l'habitude d'utiliser, dans les manifs, tout leur arsenal d'armes dites à « létalité réduite »... L'expression ne fera sourire que celles et ceux qui n'ont pas été victimes de ces gadgets barbares.
A Grenoble, on recense déjà trois blessées graves en moins de deux ans par des tirs de grenade de désencerclement (grenade à fort effet de souffle qui projette des bouts de caoutchouc). Trois jeunes filles ont ainsi été mutilées à vie par ces grenades dont deux au visage, sans que quiconque ne s'en alarme (un rappel des faits, mai 2007).
Et il n'est pas besoin de le rappeler, les « forces de l'ordre » sont les premières à transgresser les lois : conçues pour un usage strictement défensif, ces grenades ont été systématiquement utilisées de manière offensive en manif...et cela depuis le CPE. Tout comme le Taser, ces grenades ont déjà démontré toute leur dangerosité.

Il est donc aussi urgent de dénoncer le surarmement policier et d'interdire les armes « soft » que de condamner les bavures mortelles de plus en plus fréquentes (Draguignan, Grasse, Paris).

La violence c'est la police ! Désarmons la !

Pour apporter un soutien aux victimes de la répression, contacter l'Antirep : antirepgre@no-log.org ou 06 25 98 70 14

A lire, deux textes radicalement contre la police :
-Pourquoi nous haïssons la police
-Désarmons les porcs !

[OK]OGM : des flics dans nos assiettes écrit le 07/07/08

Le 9 avril 2008, après de multiples débats, l'Assemblée nationale adoptait une nouvelle loi sur les OGM.

Cette nouvelle loi ouvre la voie des cultures transgéniques en pleins champs. Elle renforce également le "délit de fauchage", désormais passible de 2 ans d'emprisonnement et 75000 euros d'amende, le double en cas de destruction d'une parcelle destinée à la recherche. Le but est clair : faucher les 6700 faucheurs volontaires français et tous les autres faucheurs autonomes.

Pourtant, les OGM personne n'en veut, sauf les industriels. L'État français nous impose par la police une agriculture que nous ne voulons pas, au mépris de notre santé, de notre liberté et de notre environnement.

Qu'en est-il des OGM en Isère ? En 2003, la chambre d'agriculture, tenue par la FDSEA, avait pris une motion contre les OGM. Mais en 2007, 90 hectares de Maïs transgénique MONSANTO ont été semés dans le département, sur des lieux tenus secrets ( rappel des faits)... Un Collectif Isérois de Résistance aux OGM a été lancé, il a besoin de bras.

[OK]Rocade Nord : un projet nuisible de plus écrit le 06/04/08

Cette après-midi, samedi 2 février, aux côtés d'une zone de gratuité en plein air, un point d'information sera proposé place Félix Poulat contre la Rocade Nord.

Enterrée l'année dernière, la perspective d'une rocade Nord a refait surface il y a quelques mois. Longue de 6km, bouclant le contournement routier de la ville, elle devrait comporter notamment un tunnel (à péage) sous la Bastille et un viaduc (détruisant au passage la Casamaure). En bref, un projet tourné vers le "tout-voiture", au service des entreprises "florissantes" de l'agglomération, un périphérique de plus qui promet d'être saturé au bout de quelques années, comme de coutume.

Il faut rappeler ici que le projet a déjà été validé par l'autorité compétente (le SMTC). Ce qui n'a pas empêché le Conseil Général, principal porteur du projet, de lancer l'été dernier une consultation à grands frais (500 000 questionnaires-marketing dans les boîtes aux lettres), en vue, soi-disant, de prendre en compte l'avis des Isérois.
Nombre d'Isérois n'ont pas été dupes. En plus de s'opposer (depuis longtemps) au projet de la rocade lui-même, des individus, des groupes politiques (tels que la LCR, les Verts, l'ADES,...), des associations (la Frapna, l'ADTC ou SOS Parc Paul Mistral, par exemple) se sont mobilisés et ont diffusé de l'information pour dénoncer cette fausse consultation. Un collectif contre la consultation bidon s'est même créé.
Au delà de cet exemple concret, continuons à réfléchir aux enjeux de la démocratie participative, devenue une référence quasi incontournable du débat public. la Rocade Nord est un exemple supplémentaire de l'utilisation de la "consutation" comme moyen de forcer "démocratiquement" l’acceptation sociale des décisions prises unilatéralement par les politiques.

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