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[OK]Témoignage d'un ouvrier de ST Microelectronics écrit le 24/06/08

Selon l’idée reçue, le travail en salle blanche serait plus propre, plus sain, et moins pénible que dans les ateliers de la « vieille industrie ». Bref, mieux vaudrait travailler sur la rive droite de l’Isère, côté soleil, chez ST Microélectronics, Soitec et autres Memscap, que sur la rive gauche, à l’ombre de Belledonne, dans la chimie, la métallurgie ou la papeterie. Bizarre confusion entre les exigences rigoureuses des produits de haute technologie et les conditions de ces productions qui n’ont rien de salubre, ni pour les ouvriers affublés du titre consolant « d’opérateurs », ni pour le voisinage victime de leurs rejets polluants. Lire la suite.

[OK]Désarmons la police ! écrit le 08/06/08

Alors que partout en France gronde la colère (fonctionnaires, marins-pêcheurs, routiers, paysans, lycéens...), comme à son habitude, le pouvoir recourt à la police pour régler les problèmes sociaux et criminaliser les contestataires. Les lycéen.ne.s qui ont entamé, depuis plus de deux mois, un véritable bras de fer avec le gouvernement ont fait les frais de cette politique répressive. A Grenoble, au moindre pas hors des sentiers battus de la traditionnelle promenade derrière une banderole, la police n'hésite pas à transformer le centre ville en véritable champ de bataille.

Ce mois de mai a été particulièrement répressif : arrosage de gaz lacrymogène, concerts de flash ball, arrestations ciblées et « musclées »... Des personnes, souvent mineures, ont été touchées par des tirs de flash ball (y compris dans les parties vitales), d'autres ont été frappées et menacées par les flics de la BAC (avec leurs armes de service), et une lycéenne a été sérieusement blessée à la jambe par un éclat de « grenade de désencerclement ». Comme dans les quartiers populaires, les flics ont donc pris l'habitude d'utiliser, dans les manifs, tout leur arsenal d'armes dites à « létalité réduite »... L'expression ne fera sourire que celles et ceux qui n'ont pas été victimes de ces gadgets barbares.
A Grenoble, on recense déjà trois blessées graves en moins de deux ans par des tirs de grenade de désencerclement (grenade à fort effet de souffle qui projette des bouts de caoutchouc). Trois jeunes filles ont ainsi été mutilées à vie par ces grenades dont deux au visage, sans que quiconque ne s'en alarme (un rappel des faits, mai 2007).
Et il n'est pas besoin de le rappeler, les « forces de l'ordre » sont les premières à transgresser les lois : conçues pour un usage strictement défensif, ces grenades ont été systématiquement utilisées de manière offensive en manif...et cela depuis le CPE. Tout comme le Taser, ces grenades ont déjà démontré toute leur dangerosité.

Il est donc aussi urgent de dénoncer le surarmement policier et d'interdire les armes « soft » que de condamner les bavures mortelles de plus en plus fréquentes (Draguignan, Grasse, Paris).

La violence c'est la police ! Désarmons la !

Pour apporter un soutien aux victimes de la répression, contacter l'Antirep : antirepgre@no-log.org ou 06 25 98 70 14

A lire, deux textes radicalement contre la police :
-Pourquoi nous haïssons la police
-Désarmons les porcs !

[OK]Manifestations et occupation : le mouvement lycéen continue écrit le 07/06/08

Le mouvement lycéen grenoblois n'est pas absent des médias locaux dominants. Quel traitement médiatique réservent-ils au combat lycéen ? Ici, une analyse du traitement par le Dauphiné Libéré du mouvement lycéen, qui révèle une nouvelle fois la connivence entre les journalistes, le pouvoir politique et son bras armé, la police.



Jeudi 29 mai, une manifestation rassemble entre 200 et 300 personnes. Le climat est plutôt tendu et des policiers en civil procèdent à des arrestations ciblées (ici et ).
En fin de journée une centaine de personnes ouvrent la "Maison du lycéen". C'est un lieu de vie, de rencontres... et de révision du bac !

Mardi 27 mai, jour de pluie, les blocages tiennent difficilement, une déléguation de lycéen-n-es reçue au rectorat suite à la manif, mais sans grand impact. un court récit de la journée, ici.

Samedi 24 mai, petite manifestation sous le soleil et dans la bonne humeur. Une banderole est accrochée sur le parvis de la préfecture. En fin de manifestation quelques accrochages ont lieu avec une bande de jeunes d'extrême-droite.

Jeudi 22 mai, forte journée de mobilisation pour la défense des retraites et contre les suppressions de postes dans l’éducation nationale. Plus important que le jeudi précédent (30 000 personnes selon les organisateurs), le cortège se scinde en deux place Auguste Rivet. Las de l’ambiance traîne-savate, les lycéen.ne.s décident d’abandonner le parcours officiel et de bifurquer en direction de Verdun où les attendent les gendarmes mobiles.
La place se remplit, fumigènes, bonne-humeur et projectiles. Les forces de l’ordre arrosent alors de gaz lacrymogène. Commence un mouvement de flux et de reflux des manifestants. Un ouvrier est blessé par une grenade tirée par la police.
Peu après midi, un cortège se reforme et une manifestation sauvage part en direction de Felix Poulat. Les gendarmes mobiles font barrage devant la Fnac et des barricades se lèvent. Une nouvelle fois, les gaz recouvrent le centre ville et les gros bras de la BAC jouent du flash ball. (lire les récits de la journée : 1/2/3). Voir des photos et une vidéo.
On dénombre une dizaine d’arrestations. Des personnes « ciblées » sont arrêtées, frappées et menacées par les flics de la BAC. Après plus de 24h de garde-à-vue et un passage devant le juge en comparution immédiate, une personne est condamnée pour « outrage et rébellion » à payer 1800 €. La solidarité s’organise avec les victimes de la répression et un appel à don est lancé. Pour contacter l’Anti-rep : antirepgre@no-log.org ou 06 25 98 70 14.

Mardi 20 mai. Les lycéen.ne.s sont encore dans la rue. Ici, un récit de la manifestation sauvage.


Jeudi 15 mai, journée chargée en gaz lacrymo. Le matin, blocage des lycées, suivi d'une manif lycéenne qui rassemble 3000 lycéen-ne-s. Dans l'après-midi, la manif de la fonction publique, à laquelle se sont joint-e-s les lycéen-nes, rassemble plus de 10 000 personnes. Récits : ici et . Des vidéos : ici et .

Dans l'après midi, une lycéenne a été blessée par une grenade de désencerclement lancée depuis un véhicule de police. Un appel à témoignage a été lancé.

Mardi 13 mai, 1000 lycéen.ne.s ont encore manifesté leur colère dans les rues grenobloises. Le cortège a rejoint la place de Verdun qui fait l'angle avec le tribunal administratif où un rassemblement de soutien à Bruno et Ivan se tenait (photos). Des affrontements ont eu lieu avec les flics sur la place et dans les rues adjacentes. Au moins 4 personnes ont été arrêtées. Un récit de cette matinée et des photos.

Le 6 mai, de nouveau, plus d'un millier de lycéen.ne.s ont défilé dans les rues de Grenoble. Ici, un récit du déroulement de la manif et des affrontements avec la police qui ont suivi. Une manifestation a également eu lieu le 7 mai : récit.

Le 2 mai, le lycée Marie Curie a été débloqué par la police : récit et lettre ouverte à la proviseure.

Plus d'un millier de lycéen.ne.s ont défilé dans les rues de Grenoble mardi 29 avril. Au rectorat, la police a, comme à son habitude, dispersé les manifestants à coup de lacrymo. Trois personnes ont été arrêtées. Un cortège de 250 personnes est reparti en manif sauvage. Des récits de la journée ici et . Voir des photos.

Les lycéen-ne-s s’organisent pour défier le gouvernement et son ministre de l'éducation nationale. Depuis le début du mouvement, Grenoble fait partie des villes les plus mobilisées. Des blocages de lycées ont eu lieu fin mars dans l'agglomération. Depuis début avril les blocages et manifestations s'enchaînent (1er, 2, 3 , 4 ).

De source officielle, 6500 lycéen-ne-s étaient dans la rue jeudi 10 avril (1|2|3). Rassemblés, en fin de manif, devant un rectorat sous haute surveillance, les lycéen-ne-s ont essuyé des tirs de grenade lacrymogène.

Si la contestation porte d'abord sur la réforme Darcos qui prévoit la suppression de postes de professeurs à la rentrée prochaine, des revendications plus larges se font entendre dans les cortèges. L'école semble devenir en effet "à la fois le lieu central et le prétexte d'une colère qui va bien au delà des revendications sur les suppressions de postes"

Quelques textes de réflexion :
- "Vers une grève féconde et générale"
- "Modestes réflexions d'un lycéen sur le mouvement en cours."
- "Education on t'aime, et on veut te garder.En finir avec la défense inconditionnelle de l’école publique."
- "La Police te réprime sur tes blocages, le S.O te flique dans les manifs !"
A lire, le guide juridique du militant pour les prochaines manifestations.
Un texte qui fait du bien.


Pour suivre le mouvement dans d'autres villes : Chambéry (1|2), Vizille (1|2), Paris.

[OK]Sans-papiers : la traque se poursuit écrit le 17/05/08

Mardi 13 mai, à Grenoble, a eu lieu un rassemblement pour la libération de Bruno et de Ivan (emprisonnés dans le cadre d'une action de soutien aux sans-papiers) et pour la libération de tou-te-s les sans-papiers. Pour plus d'info, lire ce texte. Les 80 personnes présentes ont été rapidement rejointes par les lycéen-e-s qui manifestaient en même temps.
Lire ici, le récit de cette matinée mouvementée.

Mardi 22 avril, plus de 70 militant-e-s ont occupé les locaux du CROUS de Grenoble pour dénoncer les responsabilités de cette institution dans la chasse aux sans-papiers (lire ci-dessous). L'occupation a duré de 14h à 20h. Ensemble, les occupant.e.s ont préféré quitter les lieux lors de l'arrivée de la police appelée par la direction du CROUS. A lire, les communiqués de RUSF ici et . Pendant l'occupation, des fumigènes ont été brûlés. Un texte explique pourquoi. Pour voir la vidéo de l'occupation c'est ici, et pour la télécharger c'est .
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La France de Sarkozy intensifie la chasse aux sans-papiers. Pour remplir les quotas (25 000 expulsions par an), le ministre de l’intérieur et ses préfets accélèrent le rythme des arrestations sauvages et des rafles organisées.
À Grenoble, la police et ses collaborateurs n’ont pas manqué de zèle ces dernières semaines. On arrête les sans-papiers à leur domicile, dans les transports en commun, dans les résidences universitaires. Le 13 mars au soir, lors d’un contrôle voyageur sur le réseau SEMITAG, une sans-papière et un militant de RUSF sont arrêtés (lire le récit). La collaboration entre les contrôleurs et la police fonctionne à plein régime pour réprimer les pauvres et les migrants.

Quant au CROUS, il ouvre sans renâcler les portes de ses résidences aux agents de police qui viennent faire leur sale besogne. Régis, un étudiant gabonais en a fait les frais le 8 avril. Il s’est fait cueillir au réveil dans sa chambre de la Résidence Olympique grâce au concours des agents du CROUS (1- 2). Interpellée par le RUSF 38, la direction de l’établissement public a refusé de défendre Régis et de prendre position sur les rafles qui ont lieu à l’intérieur de ses murs (Lire le communiqué). Les étudiants étrangers n’ont qu’à bien se tenir. Les délateurs veillent au grain et la préfecture se fait juge du sérieux et de l’assiduité dans leurs études. Un pas de côté et c’est bien souvent l’expulsion. Une épée de Damoclès en permanence au-dessus de la tête.

Une semaine après Régis c’était au tour de Najib d’être arrêté chez lui et envoyé en centre de rétention. Cet étudiant algérien, père d’un enfant de deux ans né en France, avait lui aussi reçu son OQTF (pour « Obligation à quitter le territoire français » en langue administrative) alors même qu’une décision de justice lui avait confié la garde de son fils.
Le soutien à Régis et à Najib s’est très vite organisé et plusieurs rassemblements devant le commissariat et la Préfecture ont eu lieu dans la foulée. Les deux étudiants ont bénéficié d’un sursis supplémentaire puisque le juge des libertés les a libéré peu après leur arrivée au centre de rétention. Sous le coup d’une expulsion imminente, la vie de Régis et de Najib est, comme celle de tous les sans-papiers, en suspens.

La mobilisation doit continuer et s’amplifier jusqu’à la régularisation de tous les sans-papiers !

[OK]OGM : des flics dans nos assiettes écrit le 12/05/08

Le 9 avril 2008, après de multiples débats, l'Assemblée nationale adoptait une nouvelle loi sur les OGM.

Cette nouvelle loi ouvre la voie des cultures transgéniques en pleins champs. Elle renforce également le "délit de fauchage", désormais passible de 2 ans d'emprisonnement et 75000 euros d'amende, le double en cas de destruction d'une parcelle destinée à la recherche. Le but est clair : faucher les 6700 faucheurs volontaires français et tous les autres faucheurs autonomes.

Pourtant, les OGM personne n'en veut, sauf les industriels. L'État français nous impose par la police une agriculture que nous ne voulons pas, au mépris de notre santé, de notre liberté et de notre environnement.

Qu'en est-il des OGM en Isère ? En 2003, la chambre d'agriculture, tenue par la FDSEA, avait pris une motion contre les OGM. Mais en 2007, 90 hectares de Maïs transgénique MONSANTO ont été semés dans le département, sur des lieux tenus secrets ( rappel des faits)... Un Collectif Isérois de Résistance aux OGM a été lancé, il a besoin de bras.

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