nice.indymedia : pourquoi, comment.
NE
PAS HAÏR LES MÉDIAS, MAIS ÊTRE LES MÉDIAS.
Nous sommes toutes et tous journalistes : qui mieux qu’un gréviste
sait raconter pourquoi il fait grève, une manifestante pourquoi elle
manifeste, une organisation ce qu’elle organise ? (lire
"keskekoi, Qu’est-ce que Indymedia")
Qui publie des articles sur indymedia ?
TOUT LE MONDE peut publier, il suffit de cliquer sur le bouton ’PUBLIER’,
de suivre les instructions, et l’article est rapidement visible en ligne,
accessible à tous. (lire
"keskekoi, Qu’est-ce que Indymedia")
nice.indymedia a vu le jour en 2002
après le gel de france.indymedia (ex paris.indymedia). En étant
le premier site local, il a relancé les processus de création
de collectifs locaux en france, décentralisés et réellement
autonomes. Le collectif s’est auto-organisé autour de sa CHARTE (Base
commune aux participant/es du collectif "Nice.Indymedia".) et
mis en place un site web qui fonctionne sur le principe de l’Open Publishing
(publication libre et ouverte) où il suffit de cliquer sur le bouton
"publier"
pour contribuer ! (comment
utiliser publier).
Vous retrouvez sur nice.indymedia,
en premiere page :
nice.indymedia, c’est aussi :
et des accès sécurisés et cryptés : toutes les
adresses sont accessibles en HTTPS :// ("publier"
est automatiquement en mode sécurisé).
nice.indymedia n’est affilié
a aucun mouvement, parti, syndicat... chacun et chacune s’exprime de sa propre
voix : transversal, non hierarchique, anti-capitaliste, anti-faciste, anti-sexiste...
nous refusons toutes les formes d’exclusions et d’asservissement.
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Actualité 
Lire...
lire: global features indymedia
Il se préoccupe de suite quand la police arrive de trouver un endroit en sécurité pour les vidéos qui circulaient : il monte sur le toit de l’école, cache les vidéos et se met a filmer l’irruption : ici la vidéo est très importante car elle reprend l’entrée de la police dans l’école , où l’on voit très clairement qu’il n’y a personne aux fenêtres , ni d’objets lancés. Il filme aussi le tabassage de Covell devant la grille de l’école juste avant l’irruption : « il était évanouit sur la route et il était frappé par les agents qui passaient a coté de lui ; rien ne se passait autour de lui , c’était de la violence gratuite ».
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